32 / Cette douleur. Ce n'était pas la fin

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Rappel : P/f = Prénom Frère

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J'ai regroupé la mafia portuaire pour leur expliquer.

«_ Je ne sais pas si tous, vous savez que tous ça est de ma faute. Mais maintenant vous le savez, vous avez sans doute devinez que je vous ai réuni pour vous présenter mes sincères excuses en espérant que vous pourriez me pardonner,...
Je suis profondément désolé de tous ce que j'ai pu vous faire, j'étais avide de vengeance et j'ai obstinément fermé les yeux sur vos réels objectifs, s'il vous plaît soyez miséricordieux envers la traîtresse qui a essaye de rectifier son erreur et de se rattraper envers vous. S'il vous plaît pardonnez-moi ! Suppliais-je

_ Pour ma part, je ne suis pas du genre à pardonner une telle traîtrise, mais exceptionnellement, cette fois, et parce que je crois comprendre le fond de cette situation, je t'ai déjà pardonné, et puis sans ton intervention on aurait jamais pu trouver les vrais conspirateurs sur cette affaire. Qui est de même avis que moi ? »
Continuais Erwin Smith celui qui est maintenant le plus haut de la hiérarchie

Des «moi» se firent entendre, mais pas seulement car de murmures désapprobateur s'en suivirent.

« _ Bien ! que ceux qui ne sont pas prêts à collaborer, que ceux qui ne se sentent pas prêts à agir, que ceux qui n'ont pas la force de déclencher et de supporter les conséquences d'une guerre qui arrivera bientôt, nous quittent !  Un autres endroits protéger pour eux est déjà prévu, car sachez que la décision que vous prenez aujourd'hui n'a aucun retour en arrière et que si vous décidez d'agir avec nous la mort est la porte qui suivra. » Explicitait le Roi

Certains commencèrent à se mettre de côté nous faisant comprendre qu'ils n'étaient pas prêts.

«_ Bien nous vous remercions pour votre franchise ! Les Caporal et les majordomes des Elfrieden vous guidera vers votre demeure protégée le temps que tous cela soit fait. Quant à nous nous allons élaborer les plans courageux soldats » Fini  le Roi.

Étant donné que personne, apart certaines personnes du département de la police et les autres mafieux connaissent les membres de la mafia portuaire, le Roi annoncera la création d'une nouvelle organisation sous ordre directe du Roi au service de l'île, « Le Bataillon » dès son retour au palais.
Puis nous allons démontré les faits à Wistalia, si tous se passe bien ce sera pour le mieux, contrairement ce sera le déclenchement probable d'une guerre, car des soupçons se porte sur les Marh.

Mais avant cela on prévoit un entraînement intensif et des mises au point sur nos armes et plans pendant 2 semaines. À la fin de cette session nous prévoyons 2 jours de repos dont l'un sera pour une petite fête d'adieu.

Après la réunion, moi, mon frère, nos Majordomes, notre mère, le Roi, Matis, Ranke, le major et les caporaux passons aux restes des organisations.

                               *****
        

Le soir était arrivé est nous avions dîné, j'étais entrain de me diriger vers là où était Livai pour pouvoir lui parler, si par hasard il aurait toujours de l'espoir.

« _Qu'est-ce que tu me veux gamine ?

_ Je voulais te parler si c'est possible.

_ On a rien à se dire, va te coucher.

_Au moins me donneras tu l'honneur d'être écouter ?

_ Je n'ai pas le temps, j'ai d'autres choses à faire !

_ Mais /

_ Écoute moi bien T/p, je n'ai pas envie de t'écouter et encore moins de te parler ! Peux-tu comprendre ça ? Je n'ai pas envie, et j'aurais besoin de temps avant de pouvoir le faire !

_ Bien ! J'attendrai ! Bonne nuit Caporal Ackerman ! »

Je sais que la situation est comme ça à cause de moi, je sais que je l'ai cherché mais je ne me sens pas capable de supporter ses dires.
Dans le couloir vers ma chambre, j'éclate en sanglot. Voilà pourquoi je ne voulais pas tomber amoureuse, le chemin que j'ai choisi ne laissait pas place à ce genre de sentiment.

« _ T/p ? Criait presque mon grand frère

_ Je sais pas quoi faire. Disais-je entre les larmes
_ J'aurai aimé que Papa soit toujours là, j'aurai aimé tomber amoureuse dans d'autres situations, j'aurai aimé être paisible à la maison avec vous sans tous ça. Je suis fatiguée ! Continuais je en pleurant de plus en plus. »

Il ne me répondait pas, il me pris dans ses bras, me portant jusqu'à ma chambre.
"Maman avait raison, je resterai toujours la petite T/p de la maison." Pensais-je

Mon frère ne me quittais pas, comme dans anciens souvenir je restais dans ces bras en pleurant, tandis qu'il me lisait des livres.
Et rien ne changeait, je fini par m'endormir dans ses bras et il finit par s'endormir avec moi dans ses bras.
Le matin arriva de plus belle, pour gâcher ce moment paisible qu'on avait, nous appelant à remplir nos responsabilités.

Livai

« _ Bien ! J'attendrai ! Bonne nuit Caporal Ackerman ! »

C'est mot s'enfonça droit en moi comme un poignard provoquant une douleur insupportable.

Ne sachant pas comment faire pour atténuer le mal que ça me provoquait j'ai fini par être décidé à lui dire une bonne fois pour toutes.
Mais quand je la retrouvait dans les couloirs, elle était dans les bras de son frère entrain de pleurer.
Ma détermination à parler fut remplacé par un sentiment de culpabilité encore plus insupportable.

                               *****

De bon matin tout le monde était prêt pour les sessions d'entraînement, avec une bonne humeur et une grande détermination de changer le monde et cela se renforça encore plus après le discours d'Erwin, de T/p, de la comtesse Elfrieden et du Roi.

T/p et Ranke son soit disant meilleurs amis supervisaient les entraînements tandis que les caporaux entraînait les soldats.
Cela ne me laissait pas indifférent, ensemble ils semblaient s'amuser comme jamais, mais je n'avais sans doute pas le droit d'empêcher quoi que ce soit.

                                *****

Les 2 semaines touchait à sa fin, la fête célébrant à la fois la création du Bataillon et les Adieux commençait, tous étaient présents et après avoir lever nos verres, tous on se relâchait enfin, les Elfrieden, Ranke et Matis étaient admirés comme jamais, et j'avoue qu'elle est vraiment belle.

D'un pas décidé je m'approchais d'elle, la tirant à ma suite.

«_ Caporal Livai Ackerman, ne croyez pas que ma sœur/

_ Ça ira ne t'inquiètes pas P/f

_ Bien si tu le dis. avoua ce dernier en soupirant
_sachez qu'une autre erreur n'est pas permise, je vous ai aperçu la dernière fois, essayant de la rattraper. Me murmurait-il. »

                               *****

Une fois seule,T/p commençait à s'excuser, et s'expliquer.

«_ ...Mais  je n'ai jamais ressenti ça, je suis tellement amoureuse de toi. Je /»

Je ne voulais pas parler, je voulais juste qu'elle sache que je l'aimais voilà pourquoi je l'embrassait.

Je la pris dans mes bras, la forçant à s'assoir avec moi sur l'herbe.

«_ une fois tu m'as demandé, est-ce que tu seras encore mon choix malgré ce que tu es ? Malgré ton passé ? Et malgré tous ce que tu pourrais faire ? Et Aujourd'hui j'ai compris pourquoi tu m'as demandé d'y réfléchir, pendant un moment, j'ai douté de mes sentiments à cause de tout ce qui s'est passé.
Mais l'idée de te perdre était insupportable et ça m'a fait réaliser que peu importe, ton passé, ce que tu as pu faire et ce que tu feras tu seras à jamais mon choix et je fais ce choix en sachant que tu essaierait toujours de faire ce qui est juste.

_ Merci caporal. Fit-elle en m'embrassant. »

Tu es mon choix Livai x Reader (Modern Era ) Where stories live. Discover now