Alessandro Ferrari, étudiant en échange venu d'Italie, viens s'installer au US chez les Williams. Lui ne parle que l'italien, elle que l'anglais.
Mais une nuit, à 1h, Ally a une soudaine envie de pâtisser. En entrant dans la cuisine elle le voit fa...
Il y a plus de monde que les deux dernières fois sur la plage. On s'installe a un endroit calme pour ne pas être dérangé pas les enfants qui cri. Je mis ma tête sur ses genoux et ferma les paupières.
- J'aime bien ton parfum, princesse. Il est à la fraise ? - Tu me renifles ? Oui, j'adore la fraise. - Pas du tout, c'est juste que tu es envoûtante. On commence ce pique nique ?
Mes joues rougissent. Je suis loin d'être envoûtante.
Il déballa le pain de mie. Il étala de la sauce aïoli (à l'ail) sur la première tranche et de la moutarde douce sur l'autre.
- Tu me mates ? - Non, je vérifie si tu as bon goût. Continue. - D'accord chef !
Je ris. Il continua son sandwich. Il plaça quelques feuilles de salade sur la sauce aïoli puis de tomates.
- Je valide pour l'instant.
Quand il rajouta des crevettes, je pris une mine horrifié.
- Comment tu peux aimer les crevettes ? C'est dégoûtant. Je vais vomir ! - Je ne suis pas d'accord c'est incroyable. T'en veux.
Il approcha le sandwich de mon visage. Je fit semblant de vomir puis partie en courant. Il me poursuivait et on riaient comme des enfants.
Il est incroyable. Contrairement au crevettes.
On s'arrêta à bout de souffle. J'adore cette journée.
- On va se rasseoir, princesse. - Encore un peu... - C'était pas une question. Tu es fatiguée on va se rasseoir. -
D'accord papa.
Il me dévisage et j'éclate de rire.
- A mon tour d'observer comment tu fais, mi amore. - Oh, non. Je stress. - Très drôle. Vas y commence.
Je sorti du pain de mie et étala de la sauce au poivre d'un côté et de la sauce césar de l'autre. Puis je m'arrête pour le regardé. Il est vraiment concentré sur mon sandwich. A croire que ça va déterminer notre avenir ensemble.
- Mmm mmm... Continue, ma belle. - Ok, Vita Mia
J'ajoute de la laitue, quelques graines de maïs et des tomates.
- Je ne mettrai pas de maïs pour un sandwich façon césar mais vas-y.
Mince, j'ai perdu des points.
Je mis des bouts de poulet pané, des copeaux de parmesan et referma le sandwich. Je tire la langue pour montrer que je suis concentré.
- Tadaa ! J'ai fini. Combien sur 10 ? - 10 tout ce que tu fais est parfait et le miens ? - 0 sans hésitation !
Il pris un air déçu. Je lui dit un petit smack sur la bouche.
- 100/10 tu embrasses divinement bien. - Merci, chéri.
Je pris une pose de mannequin, gonfla mes lèvres et bomba la poitrine, ce qui le fit rire.
Il sortit le matériel de dessin. Il a pris mes aquarelles. C'est la technique de peinture que je préfère. Surtout à la plage.
J'ai l'impression qu'il connaît tous a ma vie sans que je lui ai raconté.
Je l'aime. Je l'adore. Je pourrais mourrir pour lui.
Est-ce que c'est normal d'autant l'aimer ?
- On dessine quoi ? demandai-je - Ce que tu aimes.
Lui, s'en réfléchir.
Je commença mon croquis. C'était impossible de représenter sa beauté. Rien ne pourrait l'égaler. Il est juste incroyable.
- Fini ! Tu veux voir, princesse ? - Attend 2 minutes...
Il me reste plus que ses yeux.
- C'est bon ! - Ok. 1.... 2.... 3....
Je tourna mon support. Il m'a dessiné ?
Il a un vrai talent.
- Je savais que tu m'admirais, mi amore. - Rêve, idiot. Tu est talentueux. - Merc... - Bonjour chérie...
Je me retourna et vis...
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Bonus <3
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Aaah <3. Je suis un love.
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Chapitre posté !!!
Il est un peu plus court que d'habitude...
Qui apparaît sur la plage à la fin ?
Je vous poste le chapitre 16 cette nuit ou demain matin ça dépend du rythme auquel j'avance.
