« 𝐴̀ 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑙𝑜𝑡𝑠 𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑔𝑜𝑢𝑡𝑡𝑒𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑃𝑙𝑢𝑖𝑒...»
Par ce que chercher l'amour ne nous reussit pas à tous. Par ce que contrôler nos sentiments ne nous réussit pas à tous.
Et Al...
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A L L E N
Le soir du 23 Juillet2024 19:56
La pluie tombait cette nuit là.
J'étais rentré chez moi le cœur léger et l'esprit libre. J'avais en tête les mots que je lui dirai pour exprimer ma joie. La joie de l'avoir eu dans ma vie depuis une année entière maintenant.
La pluie tombait cette nuit là.
Le sourire aux lèvres, je saluai mes parents et rentrai dans ma chambre. J'ai posé mon sac, je me suis allongé dans mon lit. J'ai pris mon téléphone.
La pluie tombait cette nuit là.
Une notification. De toi. Et mon sourire s'est élargit. "Elle a pensé à moi, elle a pensé à nous" mon cœur se disait innocemment. Et j'ai cliqué sur la notification et j'ai lu ton message.
La pluie tombait cette nuit là.
La pluie
Tombait
Cette nuit là.
J'ai relu et relu ce long message. Encore et encore. Ce message inutilement, ridiculement long. Mon sourire s'est effacé, mon cœur a recommencé à battre, plus fort et plus violemment dans ma poitrine. Je refusais d'y croire.
Tu n'avais pas le droit de me faire ça.
La pluie tombait cette nuit là.
Une larme, puis une deuxième. Puis de long sanglots incontrôlables, puis de la douleur, puis de la déception. Et puis, et puis... Et puis j'ai répondu, faisant mine de te comprendre, de ne pas t'en vouloir, de ne pas avoir mal.
Mais j'avais mal, extrêmement mal.
Ce n'était pas seulement mental, c'était physique.
Tu ne partais pas seule, tu partais avec une partie de moi.
Et tu ne me brisais seulement le cœur, tu me brisais entièrement.
Tout s'envolait. Nos projets, nos rêves, nos aspirations.
Je regardais par la fenêtre, le cœur meurtri. Que les gouttes de pluie s'écrasant contre la vitre se faisaient voir et entendre. Cette vitre me rappelait mes joues et ces gouttes... mes larmes.
Mon cœur se déchirait, je ne savais pas explquer ces sentiments. Je pleurais et pleurais, et tremblais de rage et de tristesse. Je me sentais faible et anéanti.
Je ne voulais plus sortir. Si sortir signifiait te recroiser.
Je ne voulais plus être heureux. Si être heureux signifiait t'oublier.
Et je voulais plus vivre, si vivre signifiait t'aimer.
Et dehors, les gouttelettes s'écrasant sur ma vitre, j'avais l'impression de n'être que spectateur de mon malheur.
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" Dans la mélodie de moncœur
Tu as joué une fausse note En tombant pour toi J'ai fais une grosse faute Mais merci pour ça Car avec, j'ai beaucoup appris À travers des sanglots semblables
