Faux mariage

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Point de vu Eliot:

Avant de prendre la voiture. Paul fume une clopes.

- Tu fumes ?

- Madison ma fait découvrir.

- Madison fume ?

- oui. Tu veux essayé ?

- Non merci. Termine vite s'il te plaît.

- tu es stressé ou quoi ?

- je veux en finir au plus vite.

Devant les filles je ne le montrais pas mais je suis sous tension, je suis stressé, enfaite je veut en finir au plus vite.

- nos assistants ont trouvé les deux hommes du parking, ils sont au commissariat.

- a 5 heures du matin ? Ils sont fort.

Je lache un petit sourire.

- Ils font une belle équipe.

Paul jète sa clope dans une poubelle et nous prenons la voiture.
Paul m'indique la route pour aller à l'hôtel où il a vu Alex.

Arrive devant il était pas là.
Nous décidons d'aller dans l'hôtel.

- Tu vas réussir le français ?

- je vais essayé.

Nous allons à la réception.

- Bonjour, est-ce que un Alexandre.... est ici ?

J'ai complètement oublié son nom de famille.
Je me retourne vers Paul pour lui demander de l'aide.

Paul s'avance vers la dame.

- vous parlez anglais ?

- oui bien sur.

Je souffle de soulagement.

- Nous cherchons un homme grand, cheveux mi-long, brun, assez musclé.

La femme est dans l'incompréhension et j'avoue que ça me fait rire.
Paul de retourne vee moi.

- j'ai oublié son nom de famille.

- moi aussi.

- appelle alix, peut-être qu'elle s'en souvient.

Je sort mon téléphone pour l'appeler.

~ allô ?

~ alix, tu te souviens du nom de famille d'Alex ?

~ heu, laisse moi réfléchir... Damio, Alexandre damio.

~ T'es la meilleure, je taime.

Je raccroche et me retourne vers la femme.

- Nous cherchons un certain Alexandre Damio.

Elle vérifie sur son ordinateur.

- Nous avons un damio mais au nom de Jason.

S'en perdre de temps je lui demande la chambre.

- etage 3 chambre 312.

Nous montons rapidement à l'étage 3.
Quand nous somme arrivé, ont toque a la porte.

Sa ouvre et c'était bien lui.
Il essaye de refermer la porte rapidement mais nous enntrons par force.

- Vous voulez quoi ?

Paul s'avance vers lui et le pousse sur une chaise.
Je m'avance vers lui et lui met une gifle.

- VOUS ÊTES COMPLÈTEMENT MALADE !