Razia

chapitre 7

Turquie
Maison all najjar

RAZIA

ಥ⁠‿⁠ಥ

S'arrêtant après une tentative, tente Cara gouttes une gorger.

- tante cara : La nourriture est trop épicée, déclara t'elle . en demandant un verre d'eau fraîche.

Quoi?

Je ne me souviens pas d'avoir ajouté du piment, mais mes papilles gustatives en ressentent une abondance dans le repas.

Me regardant avec attente, tout le monde attendait une explication une fois Kabir installé. J'avais profondément honte, alors que j'avais du mal à exprimer mon innocence dans la situation.

Pour réussir quelque chose comme ça, cela doit être le fait de Cara ou d'Elisa. Ce sont ces deux-là qui me dérangent toujours de cette façon.

- Tente Cara : personne n'a prêté attention à mes propos, malgré leur validité.

- Elisa : Razia a volontairement ajouté du piment, sachant que Kabir s'abstient d'en manger.

De ma bouche, je ne parviens pas à prononcer un seul mot pendant que je me contente de les écouter.

- Tente Cara : oui ça y est, Mélissa arrête d'être naïve, cette fille est juste obsédée par notre argent. Regardez l'incapacité de sa mère à lui apprendre les bonnes manières.

Sur ces mots, les larmes commencent à couler tout au long de mes joues.

- Grand-mère : Ça suffit Cara !

Elle n'avait pas le droit de parler de ma mère.
sans parler du fait que ma mère n'avait rien fait de mal et qu'elle était une personne exceptionnelle.

- Tante Cara : Mais grand-mère, je dis juste la vérité.

- Grand-mère : As-tu oublié qui t'a appris à préparer ? Tu étais une femme mariée qui ne pouvais rien faire de bon. Mais nous t'avons accepté tel que tu étais, ai-je tort ?

- Tante cara : mais !

Elle se précipite pour rejoindre sa chambre .
Y'a eu un blanc qui n'a pas autant duré avant que Kabir aussi part sans dire un seul mot suivi par sa sœur.
À cet instant, il ne restait plus que grand-mère et son petit-fils a+++ sur la table.

Grand-mère : viens t'asseoir ma fille . dit-elle en pointant son doigt vers une siège.

- Grand-mère : tu ne devrais pas pleurer pour ça d'accord ! Ce n'est pas du tout ta faute.

- Sidart : écoutes Razia , ne te sens pas coupable, tout le monde fait des erreurs.

Je hoche la tête pour montrer mon accord.
Je ne sais pas pourquoi ils sont gentils avec moi , alors que je suis juste leur boniche.

- Grand-mère : sidart a raison, et puis n'écoute pas ses filles, elles veulent juste te culpabiliser.

Après ça, grand-mère part rejoindre sa chambre. J'essuie tout doucement mes larmes . J'allais ranger la table

- Sidart : laisse-moi t'aider .

Après avoir terminé de tout ranger, je me pose dans le jardin avec sidart nous parlions de tout et de rien.

Il m'a vite fait oublier ma peine. En ce moment il me raconte une de ses histoires les plus drôles.tandis que je rigole sans cesse.

Sidart est très différent de sa mère, je ne sais pas si je peux le considérer comme mon ami maintenant ou non.

- Sidart : alors tu me parles de tes parents ?

Sur sa question, je reste muette sans savoir quoi répondre.
Il voit que j'hésite à lui fournir une réponse.

- Sidart : tu sais, tu n'es pas obligé de me dire quoi que ce soit . Je te considère comme mon ami.

- Moi : euh .. sidart c'est n'est pas ce que tu penses.c'est juste que je n'ai pas de parents. Déclare-je .

Il me lance un regard rempli de tristesse.

- Sidart : je suis vraiment désolée.

- Moi : t'inquiète, ce n'est rien de grave, à vrai dire j'ai perdu ma mère quand j'étais petite. Je ne l' ai jamais connu . Et mon père il ne me considère pas comme sa fille, je ne sais pas si tu arrives à capter.

- Sidart : ouai ouais, ça doit être difficile pour toi. Mais sache que si tu as besoin de quelque chose je serais là pour toi, ne t'en fais pour rien du tout.

Je reste surprise sur ces mots.
Je hoche la tête en guise d' accord.
Il s'en va, me laissant seule dans le jardin .
Je me lève aussi pour rejoindre la cuisine .

[...]

J'étais dans la cuisine en train de ranger, quand j'ai senti des pas derrière moi, je me suis retourné sur le coup.
C'était Kabir, j'étais surpris de le voir. Mais je ne porte aucune importance , je sais qu'il est venu pour m'insulter après ce qui s'est produit ce matin.

Mais je ne lui laisserais pas cette chance de me rabaisser cette fois.
Ce n'est pas moi qui aie tort dans cette histoire.

Après quelques secondes il ne parlait pas donc je me retourne pour le regarder.

il avait la tête baissée c'est qui n'est pas de son habitude, en le regardant j'ai senti que quelque chose ne va pas .

- Kabir : du..du..sucre .dit-il avec une voix cassée .

Quoi?

- Moi: pourquoi veux-tu du sucre ?

Il répond pas.j'ais remarqué qui se tient pas bien c'est comme s' il avait des vertiges.Mais c'est quoi son problème.
Un bruit me fait sortir de mes pensées.il viens de

S'écrouler sur le sole

Putin

Je cours immédiatement dans sa direction.

- Moi : Kabir, relève toi . dis-je paniqué

Mais il ne répondait pas donc j'ai couru dehors pour appeler les autres, mais tout le monde était sorti, y'avait personnes au alentour.

Je suis revenu à côté de lui complètement perturbé.j'hesite à le toucher mais fini par le faire.

- Moi: Kabir,tu m'entends ??

- Kabir : du..sucre.

Je lui amène du sucre. Je l'aide à avaler.
Il me tient la main.

Quelques minutes il ne réagissait toujours pas, j'avais trop peur .mes yeux étaient toutes larmoyants.

Si quelque chose lui arrive de mal , je serai là seule responsable.

- Moi : Kabir, est-ce que tu vas mieux ?

Il ouvre difficilement les yeux, il ancre son regard dans le mien . Étant gêné de la situation, je soupire et lève les yeux en haut pour ne pas qu'il voit mes larmes.

Je ne veux pas qu'il croit que je suis capable de pleurer pour lui .
Je fais quitter ma main du sien.

- Kabir : oui ça va !

Il essaie de se lever mais étant fatigué il ne pouvait pas et j'hésitais entre l'aider ou lui laisser dans cet état mais j'ai fini par l'aider à se relever.
Je l'ai conduit dans sa chambre.

- Moi : si tu as besoin de quelque chose, tu peux m'appeler !

J'allais sortir quand il l'attrapa la main .

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