CHAPTER XXVIII

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Le gardien se trouve mort sur le sol après que des milliers de cafards sortent de son corps, jusqu'à rester que ces armures, je vois Réginald dabs une sorte de bulle transparente où on peux quand même distinguer des calculs, des petits dessins, il appui sur plusieurs boutons, qu'est-ce qu'il compte faire ? J'étais tellement concentrée sur Five que je n'avais pas vu ce qu'il faisait.

Des lueurs blanchâtres apparaît comme pour aspiré leur âme, dans des cris intenses ce qui me déchire le cœur, l'hôtel disparaît pour laisser place à des lignes verticales, horizontals jaunes/dorés, le sol à complètement disparu, c'est comme dans les débuts de construction d'un jeu vidéo.

Leurs peaux deviennent comme celle des morts-vivants, leurs os apparaissent de plus en plus, chaque fois que Réginald place une touche dabs le dessin plus leurs cris s'intensifie de douleur, je dois faire quoi ? L'arrêter ? Allison, elle ne bouge pas, je regarde autour de moi, je ne sais vraiment pas quoi faire.

- C'était pas le marché, dit Allison.

- Ils sont entrain de souffrir, j'ajoute à mon tour en réussissant à me sortir de ma paralysie. Je sèche mes larmes d'un revers de main.

- Je ne peux pas m'arrêter ! Ça stopperait la machine ! s'exclame Réginald.

- Je comprend rien, je rétorque.

- L'hôtel n'est qu'une façade. Nous sommes dans une autre dimension. Ceux qui ont créé l'univers ont fabriqué cet endroit.

- Quel rapport avec eux ? demande Allison.

Une bruit fort en énergie résonnent sous les cries de tous, pourquoi je ne sens pas l'énergie ? Je ne peux ressentir aucun magie, apart avec la porte ici, je ressens rien, même pas une seule petite décharge. Je peux les utiliser mais je peux pas sentir les énergies extérieurs apart dans l hôtel pas l'hôte de cette dimension là. C'est bizarre.

- Ce sont les particules de leurs corps qui alimentent la machine, explique Réginald.

Des fines particules dorés sortent de leurs corps pour aller vers la lumière, leurs visages deviennent de plus en plus marqué.

- Il a tué Luther, il a essayé de tuer Klaus et toi Kara. Il s'arrêtera pas avant qu'on soit tous morts, dit Five en articulant difficilement.

Une autre puissance électrique arrive qui fait résonne leur cris, bordel faut faire quelque chose avant qu'ils meurent. Sinon ce sera trop tard.

- Vous devez arrêter ! je m'exclame à l'unisson avec Allison.

- J'ai presque fini. Quand j'aurai terminé, nous aurons ce que nous voulons.

- Non, vous allez les tuer ! je m'écris.

- Dans la vie, toute chose a un prix.

Allison cri d'arrêter, et ses yeux deviennent orange comme quand elle s'est disputée avec Viktor mais son pouvoir ne fonctionne pas sur son père, il est sûrement protégé par la bulle, je cherche par terre et trouve la hache métallique que le samouraï à utiliser, je regarde Allison qui hoche la tête pour donner son accord, j'espère que je sais bien visée, je lance la hache vers la tête de leur père qui se coupe au milieu de sa tête, toute l'énergie s'arrête ainsi que la machine, ils tombent tous à terre, je jette un dernier coup d'œil au cadavre de leur père, un liquide vert sortait de son cerveau et sa peau n'était pas humaine, c'est quoi ce bordel aussi ? Tant pis il est mort c'est déjà ça.

Je me précipite vers Five qui était par terre, je m'accroupis et l'enlace, sa peau n'était pas encore redevenu à la normal, son air de mort vivant fait un peu peur c'est vrai mais je m'en fiche, ma priorité c'est qu'il sois vivant. Mes yeux me piquent, je n'arrive plus à contrôlée et fond en larme dans ces bras, il prit mon visage et dépose plusieurs fois ses lèvres sur les miennes.

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