prologue

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⚠️⚠️ cet oeuvre comporte des scènes violences sur les maltraitance d'enfants, la torture, les viols, meurtres... Si vous êtes une personne ayant été en contact avec ce genre des situations et que les revoirs sous n'importe quel forme vous êtes libres de vous en allez votre santé mentale est primordial. Si les éléments des violettes vous dérange sans que vous y êtes été en contact vous avez le droit de vous en allez.
Et si vous êtes quand même resté sachez que les éléments mentionné ci haut ne sont absolument pas encourageant ni tolérable, l'histoire est fictive et elle doit y resté. A part des détails minimes la majorité des éléments qui s'y trouvent ici seront des évènements incohérent à la réalité.
J'ai modifié certains événements, créé d'autre.

Bonne lecture

Les odeurs désagréables se propageaient de gauche à droite. Les cinq lampes clignotaient, démontrant qu'ils ne lui restaient plus longtemps. La pièce était remplie d'une odeur de pizza et de vomi. La télévision a cessé de fonctionner, tout comme la Radio, aucune mélodie ne restait pour distraire l'oreille. À l'exception d'un, qui n'était pas le plus approprié mais qui ressemblait à un chewing-gum au basket. Les sons des coups se succédaient comme dans la cinquième symphonie de Beethoven. Les larmes coulaient simultanément avec le sang qui s'écoulait le long de son dos. Cette mélodie sinistre était accompagnée d'injures qui glacaient le sang. En dépit des cris et des supplications, les coups continuaient, au contraire, ils s'intensifiaient.

Toujours plus fort.

Voilà les éléments qui formés la symphonie.

Coups.
Pleure.
Injure.
Crachat.

La musique aurait été au goût de Picasso sans compter qu'il y avait un magnifique tableau pour accompagner la musique.

Un enfant, le dos en sang, les mains attachées, les cuisses mutilés et les cheveux rasé.

Et eux Dinant en ricanant de la famine qui rongeait son estomac.
L'enfant fut traité ainsi pour avoir refusé de manger ce qu'ils appelaient repas.
Un mélange d'herbe, non préparer et qui était loin appétissant. La première bouchée le fit vomir et il devait manger son vomi pour ne pas gaspiller. Alors qu'eux.
Eux s'engouffrant des fast food et compagnie alors que l'enfant..
Lui désirait un lieu chaud, un chez soi, un vrai foyer avec de l'amour.

_ papa... Maman...

Supplia t-il. Il voulait ses parents, ils voulaient les bras chaleureux de sa mère, la protection de son père. Il n'eut que crachat et coups.

_ bon sang ferme là, il me soule cette chose.

_ calme toi, on doit quand même pas le tué ça nous coûtera.

_ vivant ou mort cet être n'apporte que des problèmes.

Voilà sa vie. Il ne méritait pas porter le nom d'humain, encore moins celui d'enfant. Il était juste une chose.
Une chose mort ou vif n'apporterait que maux et problèmes.

Pour qu'elle raison ? Aucune idée.

L'estomac le noua, son corps disait qu'il vivait ses derniers instants, ses derniers supplices. Si c'était le cas tant mieux il n'aurait pas voulu mieux. Et si crevé apporterait à ces gens la douleur que son corps a pu ressentir pendant tout ce temps, volontier, la mort serait douce, son salut. Et doucement ses yeux se ferment pour embrasser l'obscurité avec l'espoir qu'ils ne les ouvriraient jamais.

Le Danseur Onde histórias criam vida. Descubra agora