Chapitre 15 | Aria

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~Ezio, un ami en or~

« Je souris timidement, légèrement amusé par lui qui essayait de me faire lui parler sans jamais me brusquer. »

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Aria Hamilton

C'est quand j'entends le bruit plus que désagréable de mon réveil que j'ouvre mes yeux et que la lumière provenant de la fenêtre me fais les plisser aussitôt. Ayant la clarté de la journée passant à travers ma vitre, mon cerveau a enfin laissé mes ténèbres s'en allé en même temps que la sombre nuit.

Je n'ai pas assez dormi mais j'en ai l'habitude maintenant alors avec la plus grande des fatigues, je soulève la couverture qui recouvrait mon pauvre corps qui a vraiment besoin de plus de repos. Je me lève de mon lit en chancelant avec toujours des yeux mi-clos. Une fois complètement debout, un long frisson du au courant d'air me traverse et je sens immédiatement mes jambes se remplir de chair de poule.

- Aria, éteint-moi ton putain de réveil ! TOUT DE SUITE ! Hurla ma meilleure amie qui ne supporte pas de se réveiller à cause de mon alarme alors qu'elle ne commencera que dans une heure et que le sommeil pour elle, c'est toute sa vie.

Ça l'était pour moi aussi, avant.

J'efface rapidement cette pensée de mon esprit et me contenta d'appuyer sur le bouton de mon réveil qui agace tant Francesca.

Elle est très à cran en ce moment et de plus en plus fatiguée mais je ne peux pas lui en vouloir, je ne sais même pas comment elle fait pour gérer tout ça. Elle est tellement forte que je l'admire pour tout ce qu'elle est. Une femme forte. Elle ne l'était peut-être pas au début maintenant, je sens que de jour en jour, elle devient indépendante et prend confiance en en elle.

Elle dit avoir besoin de moi pour l'aider mais en réalité, c'est moi qui aie besoin d'elle, parce que je n'ai personne d'autre.

Le bruit horrible de mon alarme cesse à la seconde ou je presse le bouton fait pour l'arrêter. Après cela, je me dirige dans ma salle de bain et une fois à l'intérieur, je ferme la porte et retire le peu de vêtement que j'ai.

Nous n'avons pas allumé de chauffage, pas parce que nous n'en n'avons pas, mais surtout parce que nous trouvons que les températures sont encore supportables. Les chauffages nous couterons cher avec l'électricité alors nous préférons préserver cet argent pour les mois aux températures hivernal, tel que décembre ou encore janvier.

N'ayant plus de vêtements sur moi, je sens aussitôt mon corps se glacer, alors je ne perds pas une seconde et file sous la douche, dans laquelle je règle la température de l'eau sur le plus brulant possible.

Je me pose sous le jet et je me sens allé avec cette eau bouillante.

Si seulement mon secret pouvait s'évaporer comme le fait l'eau qui dégouline sur ma peau.

Je prends tout mon temps même s'il est limité. Je laisse le liquide brulant glisser le long de mon corps. Je sens que le jet me brule mais je n'y prête pas attention préférant marquer ma peau de rougeur. Je la frotte comme si mes peurs pouvaient disparaitre en même temps que ma peau ne rougit.

Après dix minutes sous la douche, j'en ressors munie d'une serviette enroulée autour de mon corps devenue rouge à cause de l'eau et de mes frottements. Je me place devant mon armoire et en ressors des vêtements plus chauds que ceux que j'ai l'habitude de porter. Je dois avouer que malgré que nous somme qu'au début du mois d'octobre, les températures se sont bien rafraichies et ils commencent à faire de plus en plus froid.

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