Chapitre 16.👼👼👼💫

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Diana

Nous sommes arrivés là où ils habitent, sans mentir, cette femme est riche, du portail jusqu'à la porte de la maison, tout était propre, bien entretenu,
Nous entrons à l'intérieur, c'est une grande maison, les décorations embelissées les alentours, des objets de valeur.
J'entends quelque chose qui me fait mal au cœur
- mon chéri, pourquoi tu es fâché !?? Tu étais de bonne humeur en sortant de la maison avec tes sœurs.
- la femme de ma vie, c'est juste que nous avons rencontré cette dame, au marché, elle nous dit que nous sommes ses enfants, moi je ne connais pas une autre mère que toi.
La femme nous regarde et me sourit
- bonjour, je suis Gabrielle, enchantée
- bonjour Gabrielle, je m'appelle Diana, enchantée
- venez vous asseoir
J'aperçois une autre femme avec deux enfants, certainement des jumelles, elles peuvent avoir 13 ans si je ne me trompe pas
- Amélie, les enfants nous avons une invitée
- bonjour, c'est Amélie, la petite sœur de Gabrielle, et voici Anna et Irina, mes enfants.
- d'accord, merci de m'avoir accueilli chez vous !
- ce n'est rien, que veux-tu boire ??
- juste de l'eau, suffit.
- Alice, apporte de l'eau à boire
- ok maman
- voilà !
- merci ma fille
Je prends de l'eau, bois, et commence mon récit
- bien, comme je me suis présentée au nom de Diana, il y a des années, j'étais enceinte seule ma mère était mes côtés, mon mari, votre défunt père est mort de la pneumonie, j'ai eu à accoucher des triplés. Après l'accouchement, sur le lit de l'hôpital, le même jour, j'avais remarqué la marque d'étoile bleue sur leurs dos, je ne voulais pas qu'ils meurent, je m'étais décidé de les mettre quelque part pour que les Destructeurs ne se prennent pas à eux.
Malgré la douleur de l'enfantement, j'avais couru pour les déposer au bord de la mer Medni, j'avais fait une prière, que les anges gardiennes les protègent de danger, en rentrant à dans ma chambre d'hôpital, quelques minutes plutard, les Destructeurs avaient fait irruption dans la chambre, ils nous avaient demander où sont les enfants ? Nous avions dit qu'ils étaient morts, qu'ils n'avaient pas survécu.
J'avais vu dans le regard de l'un deux, une suspicion. J'avais peur qu'ils remarquent que je mentais ; après ils étaient partis. Je vis seule depuis 10 ans déjà, ma mère, votre grand-mère est déjà décédée. Là où j'habite, je serai expulsée dans deux jours, je n'ai plus le moyen de payer le loyer, j'ai dû payer toutes les dettes, je n'ai plus rien sur moi.
Je pleure tellement fort que je sens une présence à côté de moi, c'est Arthur
- pardonne-moi maman, je t'ai vite jusgé sans savoir la raison
- ce n'est pas grave mon chéri, tôt ou tard, vous alliez réagir ainsi
Tout le monde était larmes. Je vois aussi Rose et Alice à côté de moi
- Pardon maman
- pardon maman, nous sommes désolés, sincèrement désolés
- soyez à l'aise mes enfants, je ne vous condamne pas.
Gabrielle prend la parole
- ton histoire m'a vraiment touchée, d'ailleurs je n'ai pas honte de mon état, je suis stérile, ça été la cause de mon divorce. C'est moi qui les avais ramassés au bord de la mer Medni, je les ai élevée, jusqu'à cet âge
Je suis vraiment attachée à ces enfants, comme si c'était les miens. Je ne t'empêcherai pas de voir tes enfants, tu as tous les droits vous avez aussi des traits familiers, ça saute aux yeux. Et bien pour ton problème de loyer, ne t'inquiètes pas, ma maison est grande, il y a une chambre d'amis, ça ne pose pas problème que tu restes ici.
- moi aussi j'ai quelque chose à te proposer, dit Amélie, j'ai une amie qui cherche quelqu'un pour la caisse à sa supérette, comme ça, tu auras de quoi s'occuper.
J'étais en pleine réflexion, est-ce que je dois accepter ? Oui ou non

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J'espère que le chapitre vous a plu !!!!

Les anges gardiennes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant