Poème 86

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Et j'appelle la nuit

C'est le jour qui répond 

Les limites infini

D'un constant abandon


Un vide sidéral

Qui remplit mon esprit 

Pour corrompre mon âme

De fissures infinis


Les fragments s'entrechoquent

Un mélodie brisée

Qui appelle la mort 

Comme ultime liberté


Le vent glacial qui souffle

A travers les fissures

Me rappelle que je souffre 

Pour une journée de plus 


Brasme Mélissande 


Cataclysme aléatoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant