Nouvelle donne

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Isabella : toujours rien ?
Klaus : non, et ça m'énerve.
Isabella : on va les retrouver.

On arriva au Grill. On alla vers Damon et Elena. Y'a un truc entre eux.

Klaus : faites comme si on n'était pas là.

Ils se retournèrent vers nous.

Elena : Isabella, Klaus.
Damon : vous allez vraiment faire ça au Grill ? Devant tout le monde ? Vous valez mieux que ça.
Isabella : qu'est-ce que tu racontes ? Je viens boire un coup dans un pub avec l'homme que j'aime. Ne t'occupe pas de lui, Tony. Va avec lui Arya.

Arya et Tony partirent faire un tour.

Damon : je suis étonné que vous soyez resté pour l'happy hour.
Isabella : Bekah à disparu. On doit la retrouver.
Damon : la blonde platine cinglée ? Vous n'aurez pas de mal à la trouver.
Klaus : en réalité, j'aime assez votre petite ville. J'envisage de m'y installer avec Isis. Vous devez vous demander si ça va vous affecter.

Klaus prit les fléchettes de Damon.

Klaus : en fait, pas le moins du monde. Si j'ai ce que je veux et qu'on se conduit bien, vous pouvez vivre vos petites vies comme vous l'entendez. Tu as ma parole.
Elena : qu'est-ce que tu veux de plus ?
Isabella : pour commencer, dites-moi où je peux trouver Stefan.

Je m'approcha d'Elena.

Damon : Stefan s'est tiré juste après que tu l'as aidée à récupérer sa liberté.
Isabella : c'est vraiment dommage.

Klaus me donna un fléchette, je le mis dans le mille.

Isabella : notre frère a osé nous voler.
Klaus : Je veux récupérer ce qui nous appartient.
Elena : c'est un problème
Klaus-Stefan-Isabella.

Je me rapprocha d'Elena. Damon se mit devant elle.

Isabella : j'élargis mes horizons, Elena.

Klaus rentra, pendant que moi je retourna chez moi. Damon se retourna vers moi.

Isabella : il est temps qu'on boive un coup, non ?
Damon : grand temps.
Isabella : tu as été tellement occupé à comploter.
Damon : tu me connais, Isa. Je ne rate jamais l'occasion de planifier un échec.
Isabella : ne sois pas si dur envers toi. Qui aurait pensé que ta sœur te trahirait et que ton frère la laisserait faire ?
Damon : j'étais aux premières loges quand ta belle-sœur vous a menti.
Isabella : c'est Rebekah, on peut rien y faire. Elle est comme ça. Et tu dis ne pas savoir où elle est peut-être ?
Damon : c'est le problème avec les petites sœurs. Elles sont imprévisibles.

Il bu son verre.

Damon : je te sers un verre ?

Damon me servit un verre et me le donna.

Isabella : santé, mon frère.
Damon : cul sec !

On bu nos verres.

Isabella : tu as beaucoup de points communs avec Klaus.
Damon : tu trouves ? Oui peut-être le mépris pour notre frère.

J'alla m'asseoir dans le canapé.

Damon : pourquoi vous lui en voulez autant ? Il vous a volé quelque chose ?
Isabella : la famille de Klaus, les Originels. Ma belle-famille. Ils étaient dans leur cercueil en attendant que Klaus les réveille, et Stefan les a tous enlevés.
Damon : évidemment. Quel rabat-joie notre frère. J'aimerais bien le retrouver, mais je ne travaille pas pour toi ni pour lui.
Isabella : ça pue la verveine. Klaus ne peut pas t'envoûter. Inutile de te tuer. Tu es mon frère et tu es aussi mon meilleur espoir d'obtenir ce que je veux. Mais je crois qu'une démonstration s'impose. Je n'ai peut-être pas été assez clair en te demandant de retrouver Stefan. Bien. Toi et les tiens répondez mieux à la violence. Vois ça comme un exemple de ce que je peux faire.

Je sortis mon téléphone et composa son numéro.

Isabella : le voilà. Ce que je t'ai demandé de faire ? C'est bon, tu peux y aller.

Je regarda mon frère en souriant. J'arriva à la maison qu'on a mit en travaux.

Klaus : Envoûte cet homme pour qu'il ouvre ce mur. On a besoin de soleil. Je veux une forteresse, pas un donjon.
Isabella : Salut.

J'alla vers lui et l'embrassa.

Isabella : je crois qu'ils ont compris le message.
Klaus : c'est parfait voila pourquoi je t'aime, Isis.
Isabella : je t'aime aussi, Nik.

Tyler arriva.

Klaus : le voilà. Le héros du jour.
Tyler : tout s'est bien passé ?
Isabella : Tony a renversé Alaric au lieu de Jeremy, mais c'est pareil, ils comprendront le message.
Tyler : tu parlais d'un avertissement.
Isabella : oui, d'un avertissement efficace.
Klaus : Si la famille d'Elena souffre, elle me donnera ce que je veux.
Tyler : je ne pensais pas que ça irait jusqu'à tuer quelqu'un.
Klaus : allons, ce sont là des restes d'une conscience coupable. Oublie ça, compris ? En fin de compte, la vie humaine n'est qu'un moyen d'arriver à ses fins. Nos fins. Tu as intérêt à t'en rappeler.

On laissa Tyler. J'alla prendre une douche. Klaus entra.

Klaus : j'ai plus de nouvelles de Tony et Elena à appeler. Elle veut nous voir.
Isabella : je fini ma douche et on y va.

Klaus sortit. Je fini ma doucher, alla m'habiller et on partit. On toqua. Elena nous ouvrit.

Elena : merci d'être venu, vous deux.
Isabella : j'espère que tu as des nouvelles de Stefan.

On entra dans la maison.

Elena : je n'ai pas pu le trouver mais j'ai autre chose

Elle nous fit descendre en bas dans la mini prison. Elle ouvrit la porte. Le corps de Bekah est là. Ils l'ont poignardé. J'alla vers Bekah.

Klaus : ma pauvre petite sœur. Je ne veux pas la quitter des yeux.
Elena : vous avez Rebekah. Nous avons conclu un marché.
Isabella : la vie de Bekah contre ton frère c'est même un très bon marché. Estime-le épargné.
Elena : vous avez le droit de savoir. C'est moi qui l'ai poignardée. À son réveil, elle me cherchera.
Klaus : je peux la contrôler.
Isabella : de plus, on a encore besoin de toi pour trouver Stefan.
Elena : je te l'ai déjà dit, je ne sais pas où il est.

Klaus enleva la dague du corps de Rebekah.

Isabella : tu mens. Heureusement, tu ne manques pas de proches. Si on ne retrouve pas notre famille il va falloir que tu te demandes qui sera le prochain à mourir. Bonnie ? Caroline ? Mon frère Damon ? Ce n'est qu'une question de temps avant que Stefan ne cède.
Elena : je ne compte plus pour lui. Tu t'en es assuré Klaus, quand tu en as fait un monstre. Maintenant, c'est votre problème. Et pour votre information, je ne suis pas la seule que Rebekah veut voir morte. Elle sait ce que tu as fait à ta mère, Klaus. Elle sait que tu l'as tuée.

Elena partit. Klaus prit le corps de Bekah et on rentra. Klaus mit le corps de Rebekah sur la table.

Klaus : nous y voilà. Chez nous. Cela n'aura pris que mille ans. Dire que je pensais que tu serais avec moi. C'est foutu, n'est-ce pas ?

Elle commence à reprendre un peu de couleur et à bouger les doigts.

Klaus : je suis désolé, ma sœur. Nous nous retrouverons.

Il lui planta la dague dans le cœur. Elle ne bougea plus et redevenue grise. Je m'approcha de Klaus et me mis derrière lui. Je mis ma tête sur son épaule et mes mains autour de sa taille. Il sera mes mains.

Il se retourna vers moi et m'embrassa. Il descendit ses baisers dans mon cou. Je le poussa contre le mur. Je l'embrassa. Il nous emmèna dans notre chambre en construction...

Ma famille ?Where stories live. Discover now