La colloc, celui qui...

Celui qui, restait au parc

Deux mois après le baptême de Hope, nous sommes presque en été, les garçons sont exténués physiquement et moralement par le rythme des entraînements et des matchs.

Nous sommes vendredi matin, ils sont off pour le reste du week-end et ont décider d' en profiter un peu.

Au petit déjeuner...

- Dis donc les gars ?, demandait Olivier, ça vous dit que demain on passe une journée entre mecs ?

- Ouai pourquoi pas, qu' est-ce que tu propose ?, lui demanda Lucas.

- Je ne sais pas, j' avais penser à un truc détente, qu' on rigole, qu' on relâche la pression, disait-il en regardant ses amis.

- Ouais, réfléchissait Antoine. Resto, ciné ?

- Non, y' à rien de génial en ce moment comme film à voir, répondait Benjamin.

- T' as raison en fait !, riait Antoine.

- On vas éviter une journée sportive alors, disait Lucas en acquiescant.

- Oui, on en fait assez ces derniers jours !, disait Olivier en souriant.

- Oh toi t' as une idée !, disait Benjamin en le regardant, je connais ce regard.

- Oui !, je viens de penser à un truc !

- Dis nous !, lui disait Antoine.

- On ne se ferait pas une journée à Disney ?

- Allez !, répondait les trois autres en chœur avec enthousiasme.

- Pa pa !, disait-on alors gaiement dans le babyphone qui résonnait dans le salon.

- Ah !, le devoir m' appelle, disait Benjamin en souriant en se levant.

Oui, Hope a huit mois et depuis quelques semaines elle n' arrête pas d' appeler Benjamin papa, pour son plus grand bonheur. Neuf fois à la porter dans mon ventre et pas moyen qu' elle dise maman, cela fait bien rire tout le monde quand j' essaie de lui apprendre à lui dire, mais y' à pas moyen pour le moment.

Hope était donc réveiller à l' étage, il était 9 heures, c' était une grasse matinée pour elle.

Baptiste était déjà réveiller et déjeunait avec les garçons dans son siège, à table avec eux. Il était adorable, on ne l' entendait presque pas.

Benjamin était donc partit chercher sa fille.

- Vas falloir qu' on prévienne nos femmes, disait Antoine en se servant un deuxième café, qui s' en charge ?

- Olivier !, disait Lucas en souriant.

- Pourquoi moi ?, riait ce dernier.

- C' est toi qui a proposer !, riait aussi Antoine.

- OK ok !, je gère avec nos femmes, mais elle ne diront pas non, elles savent qu' on a besoin de relâcher.