Chapitre n°7 - La surveillance...

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( TW ⚠️ : Torture, violence )

HAZRAËL,

Je crois que cet endroit est devenu mon préféré. Ici dans mon bureau, je l'observe alors qu'elle est allongée dans son lit regardant le plafond.

Je l'a vois mais elle non.

Je l'entends mais elle non.

Je sais où elle se trouve mais elle non.

Et c'est ce que j'adore. J'aime me sentir supérieur aux autres, avoir le contrôle sur la situation, être le maître du jeu. Et cette femme n'échappe pas à la règle, personne n'y échappe. Dès lors où je l'ai vu, je savais.

Je savais qu'elle m'appartenait.

Elle n'aurais pas dû monter à l'étage pour son stupide gage, mais je ne regrette pas non plus qu'elle l'ai fait. Heureusement que j'avais privatisé l'étage pour que nous soyons tranquille sinon elle aurait pu me filer entre les doigts.

Je me souviens de tout les détailles de notre rencontre. Sa façon de bégayer quand Lucien lui as demandé ce qu'elle faisait là, la façon de triturer ses doigts nerveusement dans l'attente de réponse. Ses yeux bleus pétillant à cause des verres d'alcool qu'elle avait bu et la façon dont son corps se mouvait dans sa robe noir et le mettait terriblement bien en valeur.

Cette femme est tatoué de partout et j'aime ça, son tatouage à la cuisse de serpent est similaire au miens qui se trouve sur mon bras. Elle m'a plut dès que mes yeux se sont posés sur elle. Elle est maintenant prisonnière de mes filets et je ne compte pas la relâcher de sitôt, voir jamais.

J'aurais pu me contenter de l'observer de loin, j'aurais pu mais c'était trop compliqué. Trop compliqué de voir tous les regards des hommes baver sur elle pendant qu'elle dansait sur scène. Je n'aime pas qu'on touche à ce qui m'appartienne et il faudra qu'elle le comprenne de gré ou de force.

Allongée sur le lit, les bras derrière la tête et le regard dans le vide, j'observe chaque parcelles de son corps qui m'obsède tant. Sa jambe gauche est bandée au niveau de sa cuisse et sa cheville est plâtrée. La voir ainsi me donne envie d'aller déterrer les corps de ces fils de putes et de le tuer encore une fois juste pour avoir osé poser la main sur elle.

Je pensais que ses hurlements de douleurs me feraient sourire, j'ai planté le couteau dans sa cuisse pour qu'elle comprenne qu'il ne fallait pas qu'elle hausse le ton avec moi mais un sentiment de culpabilité m'a prit quand j'ai vu son visage se tordre de douleur. Mais est-ce que ce sentiment m'empêchera de la faire souffrir ? Pas du tout.

J'aime inspiré la peur chez les gens et voir ses yeux s'assombrirent quand elle me voit me donne envie de continuer à la martyriser comme je sais si bien le faire.

Les yeux de ma belle ballerine se fermèrent complètement et je me lève de ma chaise pour lui rendre une petite visite nocturne. J'entre dans mon dressing et décale mes costumes sur la droite, derrière se trouve une porte que je traverse et commence mon chemin dans le passage secret. Après quelques minutes, j'arrive dans son dressing à elle et entre dans sa chambre qui est plonger dans le silence complet.

Je m'avance jusqu'à son lit et m'installe sur le fauteuil juste à côté. Mon regard est fixé sur sa petite silhouette qui bouge dans le lit jusqu'à ce qu'elle soit face à moi. Ses yeux sont clos, sa bouche légèrement ouverte et ses sourcils sont froncés signe qu'elle doit faire un mauvais rêve.

Qu'est-ce que tu cache Zahria ?

Ses parents sont morts dans un incendie, d'ailleurs je n'ai aucune information sur eux non plus, je ne sais pas qui ils sont. Elle a été envoyé en orphelinat à Athènes jusqu'à ses 12 ans avant d'être prise par une famille d'accueil, qui me sont inconnus eux aussi. Elle était bonne à l'école, toujours première de la classe, puis majeur de sa promo, elle étudiait pour devenir avocate mais pour une raison inconnue elle a abandonné les études après 2 ans. Et après c'est le vide total, je n'ai plus aucune information sur ces 6 dernières années. Son casier judiciaire est vierge aussi.

𝐓𝐇𝐄 𝐁𝐋𝐎𝐎𝐃𝐘 𝐃𝐀𝐍𝐂𝐄...[Non Corrigé]Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt