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Lui, semblait extrêmement en colère. Je ne comprenais pas d'où venait toute sa haine.

M. Yaga expliqua que la mission allait durer une bonne quinzaine de jour et je pris la parole.

- Je ne peux pas, j'ai mon fils.

Ma prise de parole jeta un froid. Les deux hommes me regardèrent avec les yeux rond. La situation m'aurait sembler comique si Satoru n'avais pas jugé ma personne avec autant de dégout. 

Il me regardait comme il regarderait une prostituée. J'en fus blessé. Je n'avais rien fait depuis 6 ans. Je me débrouillais seule. Tout était de sa faute et il osait me regarder comme ça. Mes cheveux se dressèrent alors qu'il n'y avait aucun vent.

Je m'énervais vraiment.

- On s'en fout de ton enfant batard !

En a peine une seconde j'étais sur lui mon sabre déguainé. Il évita ma lame avec son infini quand M. Yaga cria.

- Stop ! Tu feras garder ton enfant, débrouille toi. Et toi Satoru parle mieux !

Je me retirai. J'avais perdu mon sang froid ce qui m'arrivait rarement. Il venait de m'insulter et d'insulter mon fils.

Je masquai mes émotion avant de me courber, voulant me retirer.

- 2 semaines avec elle ? Que vas dire Hairi ? Je pourrais pas partir avec elle plutôt ? Soupira t'il.

M. Yaga refusa. Je compris que Hairi était sa fiancée. Je pus enfin me retirer. Il fallait que j'aille voir Shoko. Elle était la seule personne de confiance qui pourrait garder le secret de mon fils.

Arrivée a l'infirmerie je lui demandais si elle voudrait bien garder mon fils. Elle accepta heureuse. Elle adorait les enfants.

Voyant ma mine sombre je pris mon temps. Je soufflais par le nez avant de tout lui expliquer. Je montais quand même un rideau avant et elle compris la gravité de la situation.

Elle me promit de garder le secret et de le cacher. Elle me prit dans ses bras et je lâchais quelques larmes. La vie ne cessait jamais d'être compliquée.

J'étais fatiguée. Les secrets me pesaient sur la conscience et la présence prochaine de Gojo n'arrangeait rien. J'en avait marre de me battre.

Nous étions censés partir le lendemain matin. Une dizaine de fléaux de rang 1, une vingtaine de rang 2 et un de rang S avait été détecté non loin d'un temple. Temple censé contenir l'un des doigts de Sukuna que l'on devait récupéré.

Le soir même, j'expliquais la situation a Tomoe qui ne savait rien des tensions entre son père et moi. Il sembla tout content pour moi et je n'eu pas le courage de le détrompé. Il lacha quelque larme car j'allait lui manquer.

Je lui fit des gros bisous baveux et il se mit rapidement a rire. Après beaucoup de câlins, je nous téléportais chez Shoko.

J'installais tranquillement mon fils dans la chambre d'amis. Je devais partir tôt le lendemain. Rapidement je m'allongeais avec lui et il vint se blottir contre moi. Je pris son petit corps dans mes bras. Il allait tellement me manquer.

En plus, c'était bientôt la rentrée. J'avais décidé de l'inscrire dans une école pour enfant normaux.

L'éducation des exorcistes était un peu spéciale. Les clans éduquaient leurs enfant eux même avant de les envoyés dans des écoles ou ils rentraient en première année.

J'allais devoir commencer a enseigner Tomoe lorsqu'il aura 6 ans. Je pouvais sans problème enseigner pour ma particularité et le maniement des armes.

Mais le clan Gojo aussi avait une capacité spéciale. Et je n'étais pas en mesure de l'enseigner. Je respirais un grand coup.

J'avais encore le temps. Je décidais de m'endormir, rejoignant Tomoe dans le sommeil.

Ma dernière pensée fut pour la mission qui, j'espérais ce passerait bien.

Sens unique • gojo x ocOpowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz