08 | 𝖣𝖾𝖺𝗅

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J'en profite pour vous mettre un énième moodboard de la lady boss.

« Deux cœurs endoloris ne peuvent pas se comprendre au premier abord »

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« Deux cœurs endoloris ne peuvent pas se comprendre au premier abord »






J'enchaînai mon regard au sien, j'étais incrédule mais pas assez pour croire qu'il était un adepte de farce.

Moi: Pourquoi donc ?

Demandai-je d'une voix pleine de méfiance.

Samir: Azra, attends nous dehors une petite minute.

Son petit sourire démoniaque ne présumait rien de bon, quand Azra claqua fermement la porte, il agita son téléphone sous mes yeux. J'étais angoissée à l'idée de lui faire face.

Moi: Je- qu'est ce que tu as trouvé sur moi ?

Le questionnai-je avec une crainte phénoménale de peur qu'il ne dévoile des choses honteuses.

Pourquoi as-tu si honte de toi ?

Samir: Ce que j'ai là est mieux que ce que je cherchais.

Je sentis mon estomac fondre dans mon ventre et surtout je sentais que ce qu'il allait m'annoncer n'allait pas me plaire.

Il déverrouilla son téléphone, il pianota là dessus quelques secondes et je plaquai ma paume contre ma poitrine devant l'image qu'il me montra. Mon cœur rata plusieurs battements, coupée d'air.

Samir: J'ai retrouvé ta famille.

Santa merda.

Il va te faire la peau.

J'étais dans une grosse merde, je m'en voudrais à vie s'il arrivait quelque chose à Roméo ou ma mère par ma faute. Je vis Roméo peindre devant notre immeuble et la vidéo était en direct.

J'avais instantanément les yeux vitreux en le regardant, il se rendait compte de rien. Ce n'était pas difficile pour lui de les retrouver puisque ses chauffeurs allaient me récupérer devant chez moi.

Moi: T'as dit que j'étais libre !

Parlai-je avec haine en ayant la gorge nouée.

Une larme rebelle glissa rapidement sur ma joue mais je l'essuyai avec un revers de la main.

Samir: Techniquement oui. Je n'ai aucun intérêt à te garder comme une bête si j'ai déjà mon moyen de pression.

Je me mordis la lèvre inférieure en fermant les yeux, il ne perdit aucune miette de ma réaction. Il était entrain de toucher ma sensibilité et il le savait à present, je ne pourrais plus jamais le cautionner alors qu'il menaçait de le tuer.

Samir: Tu ne pourras aller nulle part c'est vrai, mais au moins tu continueras tes activités.

Je le fusillai du regard mais il s'en contrebalançait, ma respiration n'était ni profonde ni coupée, elle était haletante.

Le marchand de sable Où les histoires vivent. Découvrez maintenant