«Est-si j'aurai dit non ? » Le Mariage Forcé de Nesayem.

Chapitre 19

Wijdan : T'aurai jamais du faire ça.

Je redirige mon regard vers le sac rempli de Cocaïne.
J'étais.
Choqué.

Je ne savais pas quoi dire.
Je reste plantais là, regardant le sac qui étais à peine 1 mètre de moi.

Wijdan s'approche de moi, plutôt du sacs.
Prend le sac, le ferme et se retourne vers moi.

Il avais les yeux rouges.
Pas rouge à force de fumer, mais rouge de pleu-

*** : OH TOI LÂ , REVIENS SALE FILS DE P***.

Wijdan me prend le bras, et commence à courir.
Les hommes du fond de l'usine courais, il nous dirige vers sa voiture.
Il ouvre la portière côté passager, me pousse pour m'y installer, tourne côté conducteur, démarrez la voiture et pousse la voiture à au moins 150 km/h.

Mon souffle se saccadé, Wijdan regardais son rétroviseur des centaines de fois.
J'étais tellement concentré à ne pas m'évanouir que j'oubliais que derrière il y'avait facilement 7kilo de poudre blanche.

Après avoir repris un souffle normal.
Je dirige vers ma tête vers Wijdan qui étais toujours en train de regarder ses rétroviseur.

Moi : Il vient de se passer quoi là ?

Il ne me réponds pas, il étais tellement stresser que son pied gauche freinée systématiquement.
Son souffle se saccadé toujours.

________

Après être arrivé devant notre appartement.
Il me regarde et sors de la voiture.
Je sors à mon tour.
Il prend le sac du coffre et monte à l'appartement.

Après rentrer, je ferme la porte.
Je me retourne et vois Wijdan les mains sur sa tête.

Wijdan : T'a voulu faire quoi là ? Hyn !?
Moi : Je voulai-
Wijdan : DIT MOI TA VOULU FAIRE QUOI LÀ !
TA CRU QUOI ? EN ME SUIVANT T'ALLAIS DÉCOUVRIR QUOI ?

Il s'empare d'une des bougies sur la table et l'éclate par terre.
Il avais la rage, la haine.

Moi : J'en avais assez, tu me disais rien je voulais savoir ce que tu faisait dehors.
Wijdan : Maintenant tu sais, et t'es fière de toi maintenant.
Moi : Je sais rien du tout je veux juste tu m'expliques ce que viens faire la bas et pourquoi y'a un sac rempli de cocaïne.

Au fonds de moi je le savais.
Il étais belle et biens trafiquant de drogue.
Mais je voulais que c'était lui qui parlé.
Je voulais que c'est lui qui me parle et m'explique ce qu'il vraiment dehors.

Il s'assoit face à moi.
Il met ses coude sur ses genoux et en fouille ses mains dans ses cheveux.

Wijdan : tu sais très bien ce que je fais.

Je reste immobile.
M'avance à quelques pas et m'assoit sur une des chaise de la table.