chapitre 58

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Après avoir bouclé mes cheveux je viens enfiler un jolie débardeur en satin blanc en dentelle avec un pantalon large beige taille haute.

- Gabriel ?! Hurlé-je depuis la salle de bain en me regardant dans le miroir.

Je l'entends monter les escaliers et je tourne mon regarde vers la porte de la salle de bain qu'il ouvre de suite.

- Oui ?
- Je mets quoi comme chaussures ?! Escarpins ou compensées ? Qu'est-ce qui irait le mieux ?
- Je ne sais pas... Qu'est-ce que tu as mis en dessous ?

Je fronce les sourcils et je le regarde perdue.

- Qu'est-ce que j'ai mis en dessous de quoi ?

Il sourit avant de poser son épaule contre la porte en regardant mes hanches avant de me regarder droit dans les yeux.

- Qu'est-ce que tu as mis en dessous de tes habits ?
- Quel est le rapport ?!
- Parce qu'une fois sans tes habits, il ne restera plus que tes chaussures...
- Tu es incroyable... Alors les escarpins ! Dis-je en le prenant contre moi.

Je m'apprête à sortir mais Gabriel m'attrape l'intérieur de bras.

- Qu'est-ce que tu as mis ? Rigole-t-il en insistant.
- Qu'est-ce que tu penses que je peux mettre.
- Arrête de jouer avec moi...
- Gabriel, on a pas le temps... On doit être à l'aéroport dans 20 minutes.
- Moi je suis prêt ! Lâche-t-il en levant les bras. Je n'ai pas besoin de me boucler les cheveux...
- Très drôle...

Je m'empresse de descendre les escaliers et je viens m'asseoir sur le canapé pour attacher mes chaussures.

- Prends mon sac à main, s'il te plaît.
- Je te trouve vachement autoritaire aujourd'hui...
- Veux-tu que je le sois vraiment ? Tu risquerait de me bouder.
- D'être excité...
- Tu l'es depuis ce matin ! Répondis-je en rigolant.
- Si tu étais moins bandante, je n'aurais pas ce problème. Je n'ai toujours toujours pas fini ce qu'on a Commencé hier...
- Bien... Dis-je en me levant, je promets de faire un effort pour l'être un peu moins.

Il sourit avant de m'attraper fermement les fesses me collant contre lui.

- Gab... Pas maintenant.
- Hana... Juste un peu... Laisse-moi au-moins...
- Non ! Lancé-je en rigolant. Ça suffit on y va !

Je lui prends mon sac à main des mains et nous partons en direction de l'aéroport sans perdre un instant.

Nous arrivons après quelques minutes et je remarque quelques paparazzis. Je sors de de la voiture et je regarde Gabriel de travers.

- Bon sang... Ils sont nombreux...
- J'ai communiqué que j'étais à Londres. Ça n'a pas dû aider je pense...
- Je pense oui...
- Rentrons vite... Allons attendre notre vol.

L'impression de revivre notre première rencontre, nous nous dirigeons vers la classe affaire en contournant quelques flash.
Je viens finalement m'assoir sur l'un des fauteuils en cuir et je m'apprête à envoyer un texto à Nana quand je remarque Gabriel qui ne peut s'empêcher de regarder ma poitrine à travers ma dentelle.

- Gabriel...
- J'ai très envie de toi là... Là tout de suite !
- J'ai quelque chose qui pourra peut-être t'aider à patienter, attends...

Je regarde dans mon sac à main et je fais mine de fouiller quelque chose d'important.
Il me regarde dubitatif et tente lui aussi de regarder dans mon sac pour savoir ce que c'est.

Je serre le poing et je viens discrètement mettre ma main dans la sienne.

- Chuuut. C'est secret ! Dis-je en rigolant.

Il garde le point fermé s'attendant à une bêtise, me regardant droit dans les yeux prêt à rigoler.

- Je te jure que si c'est une connerie... Qui... Putin... Lâche-t-il en ouvrant sa main délicatement, voyant mon string noir.

Fausse Identité Where stories live. Discover now