Chapitre n°24 ‐ Kalbim...

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( NDA : Un peu plus de 💨💨💨💨💨💨💨 )

ZAHRIA,

J'ouvre ma portière de la voiture, le feu encore présent sur mes joues. Lui bouffer la bouche ? Et puis quoi encore ? Ce que j'avais envie de faire quand il s'est rapproché de moi comme ça, était de lui arracher les yeux pour les lui faire avaler.

Nous somme dans un parking, mais aucune voiture n'est dedans, c'est le désert. Est-ce qu'il va me tuer ici ? Comme ça personne ne le saura ? Le stresse monte petit à petit dans mes veines alors qu'il m'incite à le suivre.

- Où on va ? Je demande pour la énième fois depuis que je suis montée dans la voiture.

Il souffle exaspéré de mon côté puéril.

- Pose moi encore une fois cette putain de question et je te jure que je te balance du parking ! En fait, je vais le faire maintenant ! Il dit en agrippant mon poignet pour me traîner jusqu'au bord du parking.

Parce que j'ai peut-être oublié de préciser mais nous somme au dernier étage du parking, le plus haut, genre 100 mètres au-dessus du sol. S'il veut me balancer, je pense pas que je puisse survivre surtout d'aussi haut.

- Non, non, c'est bon j'arrête, j'arrête mais s'il te plaît ne me balance pas. Hazraël s'il te plaît, j'arrête promis. Je crie alors qu'il continue de me traîner comme si j'étais une merde.

Soudain il s'arrête et je bute son dos, enfin si on peut appeler ça comme ça, moi je dirais plus un mur mais bon...

Il se retourne vers moi, un immense sourire aux lèvres. Putain ! Ça sent pas bon, Hazraël plus sourire est égal à ennuie pour Zahria.

- J'aime bien t'entendre me supplier mais j'avoue que j'aurais préféré que tu me supplies dans d'autres circonstances meleğim.

J'avale ma salive de travers. Mais ça va pas dans sa tếte lui c'est pas possible !

- Mais bien sûr ! Lâche-moi maintenant ! Je lui ordonne.

- Je ne te tiens pas mon ange, c'est toi qui me tient depuis tout à l'heure. Il dit en levant sa main gauche.

Je baisse les yeux sur sa main droite et effectivement c'est moi qui le tient, ma main encercle son poignet même s'il ne fait pas le tour entier. Comme si son contact m'avait brûlé, je retire vivement ma main en reculant, seulement mon pied trébuche sur un cailloux et je tombe en arrière. Je ferme les yeux en attendant la chute mais elle ne vient jamais. Hazraël me rattrape de justesse par la main et me colle contre lui.

- Finalement, je crois que c'est mieux pour toi de me tenir, faudrait pas que tu tombes bêtement juste parce que tu ne sais pas tenir sur tes deux jambes. Il ricane.

Il entremêle ses doigts au miens et m'emmène avec lui, le soleil commence à se coucher, c'est magnifique. Nous montons des escaliers encore et encore, jusqu'à ce qu'il ouvre une porte devant lui.

- Entre. Il me dit.

Je passe devant lui, toujours ma main dans la sienne et pousse un cri de surprise en voyant ce qui se trouve devant moi. Un immense penthouse, magnifique, qui pu le fric mais magnifique, un canapé en U au centre de la pièce, plusieurs tapis noir au sol, un bar au fond où derriere se trouve un mur remplie de bouteilles d'alcool, de toutes sortes et surtout, pleine.

- Alors tu aimes ? J'entends soudainement dans mon oreille.

Je frissonne de plus belle mais ne bouge pas pour autant. Il guide sa main entremêlé avec la mienne sur mon ventre et je me crispe. Sa main à lui n'est pas en contact avec mon ventre, c'est seulement la mienne mais j'ai l'impression qu'il me touche...

𝐓𝐇𝐄 𝐁𝐋𝐎𝐎𝐃𝐘 𝐃𝐀𝐍𝐂𝐄...[Non Corrigé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant