𝐓𝐇𝐄 𝐁𝐋𝐎𝐎𝐃𝐘 𝐃𝐀𝐍𝐂𝐄...[Non Corrigé]

Chapitre n°30 - Ouvre les yeux...

ZAHRIA,

J'ouvre les yeux. La première chose que je vois, c'est une lumière, une lumière qui m'éclaire m'aveuglant presque.

Je pose mes mains sur le sol pour me redresser découvrant qu'il s'agit de sable et finis pour m'asseoir en me tenant la tête d'une main.

Qu'est ce que j'ai mal putain !

Je regarde autour de moi, il fait nuit, la lumière qui m'éclaire est en fait la lune, je me trouve sur une plage, les vagues de l'océan dansent devant moi et leur bruit m'apaise.

Je me relève et tape mes mains l'un contre l'autre pour enlever tout le sable. Une silhouette fine se trouve devant moi, dos à moi.

Ne sachant pas où je suis, je décide de m'approcher de cette personne pour le lui demander. Une fois à ces côtés, je m'éclairci la gorge :

- Excusez-moi, vous savez où nous sommes ? Je demande.

La personne se tourne vers moi et j y découvre une magnifique femme, de longs cheveux noir qui lui arrive en bas de la poitirne, une peau blanche comme les poupées de porcelaine et de beau yeux en amande bleu turquoise.

Un peu comme les mains d'ailleurs.

Cette femme me ressemble beaucoup mais au vu de ses quelque rides, je dirais plutôt que c'est moi qui lui ressemble.

- Je t'attendais Zahria. Dit-elle d'une voix qui me paraît familière.

- Ah bon ? Comment connaissez vous mon nom ? Je demande sur la défensive.

Elle hoche simplement la tête ne répondant pas à ma question puisqu'elle enchaîne :

- Tu te souviens de ce qu'il s'est passé avant que n'arrive ici ?

À peine a- t-elle finit sa phrase que les souvenirs me reviennent comme une claque en pleine figure.

J'avais mal très mal, j'avais l'impression que des centaines de bestioles étaient en train de manger l'intérieur de mon corps, ma tête pesait une tonne et je ne pouvais pas faire un seul mouvement sans avoir mal.

Et puis Vincenzo est venu, il m'a frappé encore et encore, injecté plusieurs poissons et mutiler. Et il a jouer de ma faiblesse, le feu.

- Je vois que oui. Viens avec moi Nyx.

Je relève instinctivement la tête. Comment elle connaît ce surnom ? Qui est-elle pour oser m'appeler comme ma mère le faisait ?

- Qui êtes vous ? Je demande.

- Quelqu'un qui veut ton bien.

Avec hésitation, je pris la main qu'elle me tendis et commença à marcher avec elle sur le bord de la plage. Mes pieds sont baignés dans l'eau, personne ne parle entre nous. Je ne sais pas qui est cette femme, je ne sais quel est cet endroit et pourtant je n'ai pas envie de partir d'ici.

- Suis-je morte ?

Ma question est sortit toute seule.

- Non, pas encore en tout Cas.

- Alors je vais mourir ?

- Pas si tu ne le souhaite pas.

- Parce qu' en plus on a le choix ?! Cool...

La femme commence à rire et je ne peux m'empêcher de sourire mou aussi.

- Veux-tu mourir Zahria ? Elle demande après quelque seconde de silence.