Max & Charles

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- Whisky ? Tu vas si mal que ça ?
Je lève la tête vers Max. Il a fallu que l'on se retrouve dans le même bar. Il y en a plus de 10 et pourtant il est là.
- Tu t'es fait plaqué par ta meuf ?
Si on veut, mon plan cul vient de me lâcher et j'ai vraiment besoin de baiser mais si je lui dit comme ça il va me proposer une strip-teaseuse mais comment lui dire que je ne veux pas baiser quelqu'un mais être baisés par un homme.
- Ça va Charles ?
Pourquoi il est encore là lui. Je crois que je commence à être fatigué. J'avale cul sec, le liquide me brûle la gorge mais je me tourne vers lui avec un grand sourire.
- Non ça va pas. Je suis gay, mon plan cul m'a lâché et j'ai vraiment besoin de baiser pour décompresser. Alors si ça ne te gêne pas j'aimerais pouvoir aller dans un bar gay me trouver n'importe qui et oublier cette soirée.
Bravo Charles tu pouvais pas faire plus clair. Max me regarde comme si j'étais un problème en maths. Je me lève et commence à partir quand il m'attrape le poignet et me tire vers lui. Je me retrouve coincé entre le bar et son corps imposant collé à moi. Alors que j'allais protester il m'embrasse sauvagement. Un gémissement de surprise m'échappe et il en profite pour faire rentrer sa langue dans ma bouche. Celle ci commence à dancer avec la mienne. Ses main agrippes fermement mes hanches tandis que les miennes s'agrippe à son t-shirt. On se sépare à bout de souffle. Il s'écarte de moi et me tire vers la sortie. On monte dans sa voiture, le chemin à l'air de durer des heures. Sa main posé sur ma cuisse ne cesse de faire des va et vient remontant toujours plus haut.
Dans l'ascenseur de son hôtel nos bouches ne s'écarte plus. Il ouvre la porte avec difficulté à cause de mes maika qui ne cessent de parcourir son corps. Il m'attrape le poignet et me jette sur le canapé. Son corps me surplombe, son souffle chaud me fouette le visage et son regard rempli de désir me fait perdre la tête. Il m'enleve mon t-shirt et me marque de partout, me faisant frissonner quand il me mort la clavicule. Mon souffle devient de plus en plus saccadé. Sa main s'arrête sur le haut de mon jean, il me regarde dans les yeux.
- Tu es sur de vouloir le faire avec moi ?
- J'en suis sûr Max.
Il me retire mes dernières couches de vêtements et fais pareil avec les siennes. J'observe son corps tellement bien fait. Ses abdos dessinés à la perfection, ses épaules qui roulent alors qu'il descend le long de mon corps. Ses cheveux collé le long de son front me font perdre la tête ou alors c'est sa main enroulé le long de mon intimité. Son autre main se positionne à mon entre. Je remarque qu'il c'est mis du lubrifiant. Jamais je n'aurais cru qu'il était si doué avec ses doigts. Je pourrai presque jouir, et une chaleur étrange m'enveloppe le cœur. Il se met une capote s'allonge sur moi, m'embrasse tendrement. Aucun des autres n'avait fait ça,c'était toujours brutal. Il me pénétre lentement, une fois entièrement en moi il commence à bouger. Je gémis son nom, encore une chose que je ne fais pas avec les autres tous simplement parce qu'il ne me donne pas leur nom. Il me donne des coups de rein qui me font complètement perdre pied. J'ai l'impression de voir des étoiles de partout. Il me donne un dernier coup dans ma prostate et on jouis tout les deux. Complètement ivre de bonheur je ne ressens même pas la douleur quand il se retire. Il nous essuie nos torse et il me porte jusqu'à son lit. Les couvertures se posent sur nos corps nu, il met ses main sur mes hanches et nous colle. Sa chaleur m'enveloppe et je me sens bien, j'hume son odeur. Il sent le bois mélangé avec une pointe de vanille.
- Bonne nuit Charlie.
Il m'embrasse le front.
- Bonne nuit Maxou.
Je lui embrasse le coup.
Je m'endors dans les bras d'un homme, un homme avec qui j'ai couché, un homme qui n'est autre que Max.
Le lendemain matin je me réveille seul. Je le savais, jamais je ne connaîtrais le bonheur de me réveiller avec quelqu'un à mes côtés. En soit ça me va très bien. J'enchaîne les mecs sans jamais m'attacher.
J'observe la chambre et repère mes vêtements sur une chaise je me lève non sans une légère douleur. Je m'habille rapidement mais me stoppe en voyant les marques sur mon torse. J'ouvre la porte pour aller dans le salon, fais un pas dans la pièce met mon t-shirt, et lorsque je m'apprête à faire le deuxième j'entends des rires. Je me stoppe et me tourne avec effroie vers Daniel les larmes au yeux alors que Max et rouge de honte.
- Bravo Max ! Tu t'es enfin décidé à lui dire ! J'aurai préféré l'apprendre autrement par contre.
Son fou rire repart de plus belle, je regarde Max confus. Dire quoi ?
- Daniel tu veux pas aller te calmer dans ta chambre ?
- Oui papa.
Il sort en se tenant les côte à cause de ses rires.
- Max ?
Il s'approche de moi mais je recule. Je finis par me retrouver contre le mur. Je commence à hyper ventilé, je ne veux pas perdre mon confort. Mes yeux se remplisse de larmes.
- Écoute Charles, je vais pas te mentir plus longtemps. Je suis fou de toi, depuis tellement longtemps si tu savais. Tu es la personne la plus magnifique au monde et je...
- Je ne t'aime pas. Désolé. J'avais juste besoin de baiser.
Tu es sur ? Me demande une petite voix dans ma tête mais pour toute réponse mon cœur bat beaucoup trop vite. Son visage se décompose.
- Mais Charles...
- Au revoir Max.
Je me dégage et sors, dans le couloir Daniel me sourit et en voyant ma tête désolé so' visage devient inquiét. Je continue d'avancer. La porte s'ouvre j'entends quelque choses de brisé puis je grimpe dans l'asenceur.

Les semaines passent, j'ai évité Max tout du long et chaque soir je me faisais baiser pas un homme qui partait direct après m'avoir fait jouir. Les mots qu'il me disait, ses caresse et surtout de dormir avec lui me manque.
Je suis sorti de mes pensé par Carlos qui me donne un coup dans le coude.
- Tout vas bien Charles ?
- Non j'ai couché avec Max mais il m'aime alors que moi bas je sais pas, tout me manque chez lui. Et mon cœur bat la chamade quand je pense à lui mais en même temps j'ai peur je n'ai jamais aimé quelqu'un mais je suis bien avec lui... Oui je l'aime. Je doit lui dire désolé pour ce soir Carlos et merci pour ton aide.
- Pas de quoi.
Il rigole pendant que je part vers la sortie. Dehors le vent me fouet le visage mais je cour jusqu'à chez lui.
Quand j'arrive devant ça porte mon courage disparaît mais je toque quand-même. Il met 2 minutes à l'ouvrir et son visage se fige en me voyant. Il ne porte qu'un short de sport et des perles d'eau coule le long de son torse.
- Qu'est-ce que tu veux ?
- Je peux entrer ?
- Si c'est juste pour de la baise non.
- Je veux juste parler.
Il cherche dans mon visage une quelconque raison de me dire non mais finit par me laisser entrer. Je m'assois sur le canapé ou il m'a fait perdre la tête il y a 3 semaines. Il reste debout à une distance plus que raisonnable.
- J'ai peur. J'ai toujours connu des plan d'un soir mais depuis toi je n'y arrive plus. Tu es tellement parfait et je regrette de t'avoir laissé. Je n'arrive pas à expliquer, tu le sais je suis nul pour parler mais je t'aime. Oui je suis amoureux de toi.
J'ai dit tout ça d'une traite. Il ne me répond rien mais à la place il se dirige vers sa cuisine et reviens avec un verre d'eau. Il s'avance vers moi et me le lance en pleine figure.
- Max !
Je suis trempé et mon t-shirt blanc n'aide pas. Il rigole avant de littéralement se jeter sur moi. Il m'embrasse langoureusement. Et je souris contre ses lèvres.
- Tu es con Charles mais je comprends et je t'aime.
- Ouf.
Je le re embrasse et on passe la nuit à se montrer notre amour pour l'autre. Et pour la première fois dans ma vie je me suis réveillé avec la personne que j'aime.
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Coucou, je suis désolée de ne pas avoir pu poster plus tôt j'ai eu un problème avec mon téléphone et j'ai perdu toute mes histoires 😢
J'espère que ce chapitre vous a plu.
Gros gros bisous et à vendredi 🥰😘💖❤️

one shot f1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant