un sourire

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« Une carte postale c'est ce à quoi n'importe qui penserai si ils voyaient cette île. Du sable blanc, le soleil, une légère brise de vent. Et pourtant ce magnifique fut pendant presque cinq ans un lieu de commerce en toutgenre. On appelait cela le commerce des moins de dix-huit ans une pratique aujourd'hui interdite mais très répandu fut un temps. Nous nous y rendons souvent lui et moi, il y a six ans je l'ai sorti d'ici, et depuis cela je lui cache mes sentiments, mes pensées quine sont pas toujours saintes. Quand je le vois courir sur le sable blanc me regardant avec un grand sourire ses yeux me remerciant. Sa bonté dans son regard, la douceur de sa voix ses sensations me blessent le cœur car je l'aime et pourtant je n'ai pas le droit. Si je lui dit ce que je ressens j'ai peur de ce qu'il dira. Nous sommes tellement proche tellement uni, ce ne fut pas sans mal pour atteindre une tel confiance entre nous. Autrefois il n'avait pas de prénom,pas d'identité, juste une peluche et un espoir auquel s'accrocher.L'espoir qu'un jour l'on vienne le délivré lui et tous les autres.Au début il ne voulait pas qu'on l'approche à peu près comme tous les autres. Il était recroquevillé sur lui même. Se balançant d'avant en arrière répétant les même mots aussi troublant les uns que les autres : « S'il vous plaît...sauvez...aidez...s'il vous plaît » à longueur de journée. Moi même je n'est pas compris comment j'ai fait pour l'approcher comment j'ai réussit à le calmer. Avec ces simple mot : « Nous sommes je ne te ferai pas de mal, c'est fini maintenant, il ne t'arrivera plus rien alors calme toi, et souris car maintenant tu es libre » Libre oui il l'était, et aujourd'hui sa liberté il la montre à tout le monde. Je dois sûrement sourire en ce moment parce qu'il vient de s'étaler sur le lit de la cabane au bord de la plage. Il me parlemais je ne l'entend pas, je continu de sourire pour lui montrer que je l'écoute mais je me sens partir pourquoi maintenant ? Jet'aimes tant mes batteries s'affaiblissent je ne vais plus pouvoir teregarder. Ma vue se brouille je veux te revoir et sauvegarder tonsourire sourire que j'ai mit tant de temps à te donner. Je ne voisplus rien , je me sens tomber dans le noire, dans le vide complet. Jesens ta main qui me rattrape je sens ton épaule sous ma tête et jesens mes circuit surchauffé est-ce donc cela mourir d'amour j'auraiaimé te dire ce que je ressens, hélas ce n'est pas possible c'esttrop tard J'ai une unique requête à te faire ne m'oublie pas avancevers ton futur et découvre un amour qui ne te brise pas. Un amourque tu auras et où la peur de partir ou de dysfonctionnementn'existe pas. J'ai découvert être un robot il y a quatre ans et monespérance de ie n'était alors que de trois ans. C'est messentiments qui ont du me faire tenir tout ce temps. Je t'amietellement et je te demande pardon ; pardon de t'abandonnerpardon de te quitté si brusquement alors que tu n'as rien demander.C'est fi...n..i à...dieu...Harold...je...t'..... »


"Ne parts pas ! :


"Je me retourne pour le regarder, il n'est pas comme d'habitude aujourd'hui, son regard est triste,pourquoi Louis est-il comme ça. Je ne le reconnais pas. Je cours sentant le vent dans mes cheveux, il m'a appris à l'apprécier à le ressentir à l'entendre. Mais la plus belle chose qu'il m'est appris à faire c'est de sourire, c'est d'aimer la vie. Même si le passée ne m'a pas fait de cadeau, je ne dois pas « rester la dessus mais je dois avancer » se sont ses termes exactes.J'approche de la cabane, cette cabane elle nous appartient à nous seul. Je plonge sur le lit qui est en dehors de celle ci. Le toi n'est pas loin de partir , et les lits qui ont servis voilà six ans sont encore intacte. Je n'arrive pas à y croire que cet endroit soit si silencieux aujourd'hui. À l'époque on entendait des cris, des voix, des hommes surtout. J'avais seize ans quand je fut libérer. À l'époque la peur et le traumatisme m'avaient empêché de parler et de remercier se qui sont venu. Au fond de moi je savais que se jour viendrai, que la délivrance arriverai. Puis on m'a donner un nom un prénom une identité c'est lui qui me les a donné. Je le connais par cœur Harold Edward Styles. Habituellement il me dit de ne pas m'allonger dans sur ces matelas parce qu'ils risquent de s'effondrait. Je lui demande pourquoi il ne me dit rien, mais aucune réponse. Juste un regard vitreux. Cette peur d'où vient-elle je ne comprends pas ou essais de ne pas comprendre ce qui se passe. Je l'appelle encore et encore mais aucune réponse. Je sens son corps froid et un souffle métallique sur moi. C'est la première fois queje le ressens, la première fois que j'ai autant peur et aussi la première fois qu'il s'effondre. Ça faisait quatre ans que jen'avais pas pleurer mais ces larmes sont différentes de celles que je versais autrefois. Je le sens partir, je le sens me quitté.Pourquoi me laisse-t-il ? Pourquoi maintenant quand j'ai besoin de lui, quand mon cœur bat pour lui ? Il ne m'a rien dit, ilpart sans rien me dire il n'a pas le droit de me brisé comme ça.Lui qui à été le soleil de ma vie lui qui m'a permit de sortir,d'aprècier le monde, les gens la vie. Il était un ange, un ange quiveillait sur moi, il ne dois pas partir , pas sans moi , s'il teplait reste avec moi reste là ! Ne part pas!"


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⏰ Last updated: Oct 22, 2015 ⏰

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Carte postale (larry)Where stories live. Discover now