Jamais loin de vous

Je suis un incapable

Coucou tout le monde ! Ça va ? Moi super ! Alors, vous êtes près pour la rentré ? Oui ? Non ?

Bah non, bien sur ! x)

Bref ! On se retrouve pour le chapitre 26 ! J'espère que le 25 vous a plus et que celui-ci vous conviendra ! ;)

Encore un grand merci à nahira pour la correction des chapitre ! :)

Bonne lecture !

.

.

Chapitre 26 : Je suis un incapable.

.

.

.

Il était 7h du matin. Déjà.

Ça faisait longtemps que le Patron jouait au chat et à la souris avec les deux agresseurs, à les fuir, et à essayer de les attraper.

Beaucoup trop longtemps.

Il était crevé et présentait de nombreux signes de fatigue, et de potentielles faiblesses que pourraient exploiter les deux jeunes hommes, qui eux, semblaient en pleine forme.

Ils n'avaient d'ailleurs aucun mal à rattraper le Patron qui se sentait déjà obligé de ralentir la cadence.

Le criminel s'était fourré dans de beaux draps !

Il avait sous-estimé les deux hommes à un point inimaginable. Il les croyait incapable, ignorant et inoffensif, alors qu'en vérité, ils étaient tout l'inverse ! Ils avaient beaucoup d'expériences et savaient très bien utiliser leurs mains.

Pour la première fois depuis longtemps, très longtemps, le Patron se demandait si il allait s'en sortir. (La bêta tuera l'auteure si ce n'est pas le cas, ne vous en faites pas !)

Beaucoup de questions se bousculaient dans sa tête.

Comment en était-il arrivé là ?

Pourquoi ne s'était-il pas rendu compte qu'ils étaient si dangereux ?

Pourquoi était-il si têtu ?

Il aurait du écouter maître Panda et les autres membres de sa famille qui lui disaient de ne pas y aller ! Il n'arrêtait pas de penser au Geek, s'il ne s'en sortait pas, son amour en serait anéantit. C'était de sa faute. Il allait détruire sa famille, l'anéantir.

La fatigue faisait déjà son effet, et le Patron entendait ses agresseurs le rattraper.

Perdu dans les couloirs du hangar, le criminel ne savait plus quoi faire pour leur échapper.

Au comble du désespoir, il se cacha derrière un mur. Les deux hommes passèrent à côté de lui sans le voir et continuèrent leur chemin.

Le Patron soupira et se laissa glisser le long du mur. Il avait tellement besoin de dormir. Il devait fermer les yeux, juste un instant, ça ne pouvait pas lui faire de mal. Ses paupières étaient lourdes, trop lourdes. Il les ferma quelques instant et se sentit s'envoler. Il n'entendit plus rien autours de lui. Plus rien...

C'est sans doute pour ça que lorsqu'il rouvrit les yeux, il se retrouva face au deux jeune hommes qu'il n'avait pas entendu arriver. Merde...

« Alors, déjà fatigué papy ? » demanda John d'un air moqueur.

Le criminel grogna. Il était foutu. Mais il ne se laisserait pas avoir. Même si il devait mourir, il allait se battre.

Il se releva lentement. Les deux agresseur le regardèrent, amusés.