Totoiles : Hahahahahahahah

316 16 13
                                    

Oui, cet OS fut annulé de publication pour des raisons débiles. Même conne. Mais
Le revoilà !
(Comme ça j'ai pu lui mettre un titre aussi).

Point de vue Toto :
On avait rendez-vous près d'une grande place dont j'ai oublié le nom. Et j'étais en retard de dix minutes. Mais je ne pris pas la peine de courir. C'est lui qui m'avait demandé de venir, il pouvait bien m'attendre un peu. Et en y repensant...Je crois qu'il m'avait inviter pour...Je sais plus, tant pis.
Deux minutes plus tard, j'étais arrivé à destination. Je chercha du regard Etoiles et le trouva affalé sur un banc, casque sur les oreilles et regard perdu dans le ciel.
Une idée germa dans mon esprit. Alors, à petits pas discrets, je m'approcha par derrière et...:
- BOUH ! Fis-je en prenant ses épaules.
Il sursauta, se retourna, me regarda et me cria :
- 'Tain tu m'as fait peur !!
- C'était le but.
- Tss..Retire donc cet air fourbe de ton visage.
- D'accord m'sieur.
Bref, je vais passer notre conversation car ce serait long et ennuyant à raconter. On a pas dit de choses interéssantes de toutes manières.
Le temps de notre discussion, nous nous étions installés sur, justement, le banc de pierre où il m'attendait. Une petite heure plus tard, nous nous levâmes et commençâmes à nous avancer tranquillement vers un fast-food.
Un instant plus tard, un deuxième éclair de génie s'abattut dans ma tête. Je fis mine de refaire mes lacets pour le m...
J'ai rien dit. Il était en train de reluquer des filles. Alors, je m'empressa de revenir à ses côtés. Il me lança :
- Euh...Ça va ?
- Bah ouais pourquoi ?
- T'avais pas une tête de personne spécialement en forme et se portant..bien. Tu t'es blessé ? Même tout à l'heure tu grimaçais. C'est peut-être grave !
- T'inquiète, j'ai juste un p'tit peu mal mais ça va.
- T'as mal où ? Bobo là ?
- Tais toiiiii xD Tu peux pas comprendre cette douleur.
- Qui sait ? T'as p't'être juste mal..au genou ?
- Moi je sais. Et non.
- Pff...Dis moi.
- Non !
- Pourquoi ?
- Ça..Ça fait trop mal !
- Mais de quoi ! Arrête de faire ton beau brun ténebreux qui a mal mais qui ne dit rien !
- Bah y'a rien ! Et je suis pas brun ok ?
- TU M'SAOUL À LA FIN ! SOIT TU ME LE DIS, SOIT JE ME CASSE !
- Mais..
- Y'A PAS DE MAIS !
- ET BAH JE VAIS TE TE DIRE. JE T'AIME PUTAIN ! JE T'AIME VOILA CE QUI VA PAS.
Pendant deux secondes il ne dit rien. Ensuite, sa main vola jusqu'a ma joue si fort que l'empreinte resta ancrée dans ma peau.
- POURQUOI TU M'AS GIFFLÉ ?
- PARCE QUE ÇA TE VAS PAS DE M'AIMER ?
- SI ÇA ME VA !
Il ne me répondit pas. Car un petit bisous avaient remplacer nos paroles. Il aggripa mes mains et se fit plus pressant. Nos yeux fermés, nous ne ressentions que l'instant présent.
Et je crois que ça nous suffisait amplement.
Notre baiser s'interrompu et il me dit d'un air totalement blasé :
- T'es totalement con en fait. Ouais c'est ça, le roi des cons. Mon roi des cons.

;-;

Des Petits OSOnde histórias criam vida. Descubra agora