chapitre 40

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------ je m'excuse pour tout mais bon j'ai ma vie a coté aussi et je tiens a m'excuser pour les fautes parceque je sens et je sais qu'il y en a voila bonne l'ecture et celles qui liront. -----

Sur le chemain je voudrais tout racompter à James, la rupture violente avec Greg et ce coup de file qui me donne encore la chaire de poule mais je n'en fais rien, je me contante de regarder par la fenêtre passager défiler le paysage. Le trajet serais tellement silencieux si il n y a avait pas la radio d'allumé pour diffuser de ... du bruit.

Oui c'est juste du bruit, les paroles n'ont aucun sens et la musique ne fait que boum boum vraiment James écoute n'importe quoi.

Au bout de quelques minutes il se gare devant chez lui et je sens que l'atmosphère a changer dans la voiture, elle n'est pas lourde mais chaude ... Il dégage une tout autre ennergie, et il a l'aire déterminé.

Je tourne la tête pour le regarder mais ses lèvres écrasent les miennes, je ferme les yeux et me laisse allé, sa langue joue avec la mienne, met mains sont dans sa nuque et je le presse contre moi comme si j'avais peur qu'il s'envole. Ses mains commence à se ballader sur mon corp et je comprend maintenant que l'atmosphère est changé, il veut, mais suis je prête à franchir ce cape avec lui ? Des maillons se déchaînent dans mon ventre, les jambes deviennent tremblante et des muscles que je n'ai jamais senti et a qui je n'ai jamais fait appel font leurs aparition.

Il me tire sur lui, et je lui mord la lèvre inferieur prise dans l'action. Je sens un sourir sur ses lèvres.

- Vite on sors de la.

Il ouvre la portiere et je sors la première avant qu'il ne fasse de même, il ferme cell-ci avant de me prendre dans ses bras, j'enroule mes jambes au tour de lui comme si c'était normal, naturel.

Il marche et ouvre la porte en m'embrassant. Comment peut il arrivé à faire tout ça en même temps. Une voix dans ma tête me crie : L'abitude ma pauvre fille !

Mais je l' ignore, je le connais un peut, je sais qu'il ne me ferais jamais ça, ha sais qu'il m'aime, je sais...

Je me retrouve propulsé sur le lit, son lit, son regard est sur moi et il s'approche de moi avant de bondire, et m'embrasser, ses mains dans mon dos trouvent rapidement la fermeture ma robe et celle- ci ce fait descendre rapidement. Les bretelles glissent sur mes épaules puis rapidement la robe se retrouve de l'autre côté de la pièce. Je pose mes mains sur son torse musclé sous tee-shirt avant de prendre l'initiative de le lui retiré et de l'envoyer rejoindre ma robe. Sa bouche quitte mes lèvres et se retrouvent dans cou, après les baisers viennent les morsures de plus en plus dur. L'une de ses mains caresse l'un de mes seins pendant que l'autre degraphe délicatement mon soutient gorge.

Mon coeur bas la chamade, j'appréhende tout de ce moment et maintenant et je vais le vivre...

Il enlève mon soutient-gorge avec beaucoup de facilité du fait que celui-ci est en bandeau, les pointes de ma poitrines se durcissent de plus en plus l'orsque James les caresses de sa langue. Ses baisers descendent jusque mon nombril puis il pris entre ses dents l'élastique de mon tanga, je le regarde faire et je me sens humide a l'intersection de mes jambes, toujours en la gardant entre ses dents il la fais descendre en me regardant droit dans les yeux, je ne sais pas pourquoi mes dents se plantent dans ma lèvre.

Je me retrouve nu sous les yeux de James, il enlève rapidement son tee-shirt avant de bondir sur moi, il m'embrasse, enroule nos langues tout en se débarrassant de son pantalon et son boxer d'un geste habile. J'ai les yeux fermé, je suis tellement à l'aise curieusement.. Tout d'un coup je le sens se redresser, j'ouvre les yeux intrigué et je le vois sourcils froncés regarder en direction de la fenêtre.

- ça ne vas pas ? ma voix est a peine audible.

- J'ai cru ... Non, rien laisse j'ai tellement envi de toi.

Sur ses derniers mots il plaqua ses lèvres sur mon cou avant d'en aspirer la chaire.

Le téléphone de James sonna, prévenant l'arrivé d'un message, deux messages, trois messages... ça n'en finissait pas, le téléphone n'arrête plus alors il se leve agassé. je soupir, comment casser le rêve...

- On se casse.

je reçoit mes sous vêtements en pleine figure, je lève les yeux vers lui, il est pale et a vraiment l'aire remonté.

- Je te ramène chez toi.

- QUOI ??

- J'ai pas d'explication a te donner. Dit il avant de mettre son pantalon et de me laisser seul dans cette pièce.

C'est une blague ... Non seulement il me laisse en plan mais en plus de cela il me parle de cette façon ... Non mais qu'est ce qui ce passe ?...

Reste avec moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant