Chapitre 1

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Présent


Encore aujourd'hui, dans cette ville, la peur règne à cause de cette légende qui prit forme le jour où l'aventurier revint de cette forêt maudite, traumatisée, et cela sans que personne ne puisse savoir de quoi il avait eu si peur.
Personne ne sait, même à présent ce qu'il a pu endurer où faire durant le temps d'une nuit mais cela resta graver dans sa mémoire jusqu'à la fin de sa vie. Plusieurs psychologue l'avait rencontré avant sa mort, mais chacun disait la même chose "Certaine maladies laisse des marques que ni personnes, ni quoi que ce soit, puisse guérir. Cet homme fait partie des rare personne à avoir été brisé par un virus que tout le monde attrape dans sa vie."
Quelques personne raconte encore que lors des nuit de pleine lune, on entend une personne pleuré et crier un mot ou un nom qu'on ne comprend pas. Les paysans prenants peurs de cette parole, n'osait plus s'aventurer dans les champs en pleine journée. Lors de la pleine lune, à l'heure du couvre-feu, lorsque l'église de la ville sonne, toute les personne cour et s'enfuit vers chez eux, mangeant avant de dormir. Peu de personne reste tard la nuit, éveiller pour on ne sait quel raison, et ces personne-là, sont les seule à entendre les cris. Les villageois ne sont pas très Friant des rumeurs sur cette forêt mais même ainsi, leur foi en cette forêt les empêche de parcourir le champ, et cela même pendant les nuits sans lune.
D'ici commence l'histoire d'Edward, un fils d'agriculteur, le seul qui même maintenant, s'occupe du champ sous la forêt maudite. D'ailleurs aujourd'hui, comme tous les autres jours, il aide son père a labouré les champs en espérant secrètement recevoir une belle récompense. Depuis que les villageois ne s'occupe plus du champ, et qu'il n'y as que Edward et son père, les plantations devienne rare et souvent meurent bien vite. Le travail est si long que deux personne, sans tracteur ne peuvent tous faire.

- Allez Edward! Plus vite que ça! Ta mère nous attend!
- Pff... C'est bon... Ce n'est pas comme si les autres villageois allez nous voler le bétaille!
- Il va bientôt faire nuit. Dépêche-toi et tait-toi.
- Mmm.

Ce jeune homme, plutôt dans la crise de l'adolescence, était, en plus d'être musclé, le parfait opposé de son père qui était blond aux yeux bleu. En effet, Edward était brun aux yeux noirs et le plus troublant est que toutes les personnes qui sont née dans cette ville sont blondes aux yeux bleus. Depuis des millénaire, personne ne sait comment mais cette étrange phénomène se perpétue encore et encore. Quelques scientifique, venue pour évaluer le phénomène, était venu dans cette ville, mais on mystérieusement disparu lorsque dans la nuit, un des scientifique, avait crié dans toute la ville, que celle-ci était maudite par une chose trop grande pour eux.
Personne, même maintenant, ne sait pourquoi Edward est née avec ce défaut si laid d'après les jeunes du village. Durant son enfance, Edward, ayant la particularité d'être née différent, avait vécu beaucoup de choses dont personnes n'aurait envie de vivre. En effet, le bizutage de sa primaire a son lycée, n'a jamais cesser, et cela la rendu plus fort, autant du coter physique que mentale, même si cela signifiait qu'il devait se battre avec autrui, il le faisait sans remord.
A présent âgée de 17 ans, le jeune homme avait arrêté ses étude pour aider son père dans les champs. Sa mère n'étant plus autoriser à travailler pour labourer les champs à cause de ses maladies, Edward était à présent obliger d'aider son père, même si celui-ci n'en était pas fier.
Le père d'Edward, ne lui a jamais raconté comment il avait rencontré sa mère et comment, mystérieusement, celle-ci, était tombé malade d'un virus que même les médecins les plus expérimenté ne savaient pas d'où il venait. Mise à part sa maladie, sa mère adorait parcourir les jardin des prairies, mais à présent en chaise roulante, à toujours cacher ses jambe si l'aide pour elle, celle-ci ne pouvait plus marcher sur l'herbe ou même sentir le vent sur ses cheveux, condamné à rester enfermer chez elle, de peur que les villageois ne la dévisage à cause de ses jambes, redevenu comme elle était auparavant.
Comme tous les jours, à partir d'une certaine heure, tous les habitants de cette ville doivent être chez eux, volet et porte fermer. Les deux hommes, toujours dans les champs, était près à partir mais l'un deux était plus lent, ou du moins, plus flemmard. En attendant la nuit, normalement les deux hommes, père et fils, devait ramener les légumes chez eux, pour préparer la soupe du soir que tout le monde attend avec impatiente. Mais aujourd'hui, Edward, n'étant pas dans son assiette, celui-ci avait ralenti le pas et lorsqu'enfin le soleil se préparait à se coucher, il ne voulait plus rentrer, il ne voulait qu'une chose, regarder le coucher de soleil. Celui que l'on voit dans tous les films à l'eau de rose.

- Dépêche-toi feignant! On n'as pas que ça a faire!
- Mais père! On a encore le temps! Le soleil est encore là!
- C'est pour ça. On doit profiter des dernières minutes de soleil chez nous, avant de fermer tout.
- Pourtant c'est tellement bien d'être dehors...
- N'écoute pas tes pensées stupides sinon tu le seras à vie. Fils Stupide.

Consternée par ce que son père venait de dire, le jeune homme, trop buté pour écouter sa propre conscience, rangea les légumes qu'il avait ramassée toute la journée en compagnie de son père, dans le panier avant de s'assoir sur le sol, bras et jambe croiser. Ses vêtement était boueux, la nuit précédente, le temps était nuageux. Père et fils avait dû travailler toute la journée sous la pluie, et sans se plaindre une seule fois, ils étaient rentrée chez eux, boueux et mouillé jusqu'aux os.
Un peu de blé avait volé autour de lui, lorsque son corps toucha le sol de tout son poids.
Chaque jours, les deux hommes devait ramener, à leur tours, un panier chacun. Les paniers était fait par la mère d'Edward, privée de marche à pied, celle-ci avait pris comme habitude de faire des paniers en paille ou en osier.
La quantité des paniers pouvait durée jusqu'à deux jours maximum mais à cause des récoltes peu suffisantes, les paniers devenait de plus en plus vide, et aux furs et à mesure du temps, seule un panier était remplie à la fin de la journée, chaque légume était recueilli et choisie pour qu'il n'y ai pas de gâchis.
Malheureusement pour eux, depuis des lustre, à chaque fin de saison, les agriculteurs devait donner la moitié de leur récolte au monstres de la forêt, pour qu'il n'y est ni mort, ni dommage.

- Lève-toi fils stupide! Tu crois qu'on a que ça à faire! Rester planter là et bouder!?
- Je veux regarder le soleil couchant!
- Vas-y donc! Regarde-le! Mais ne vient pas te plaindre après!

Sur ces mot, le père d'Edward, pris le panier et parti vers chez lui, laissant son fils derrière. Le soleil allongeait l'ombre du géniteur d'Edward, qui lui, toujours assis sur le sol, regardait le ciel prendre plusieurs couleur avant de sombré dans l'obscurité. Le soleil commençait à se cacher derrière les montagnes rocheuses entourant le village et sa forêt. Des rayons lumineux, venant du soleil couchant, illuminait les nuages alentour, allant du jaune au rose jusqu'au bleu foncé du ciel qui, derrière les nuages, laissait place à une pleine lune éclairante.
Le jeune homme était subjugué par ces couleurs qu'il n'avait jamais vus jusqu'à maintenant. C'était la première fois pour lui, la première fois qu'il voyait le soleil couchant et par la même occasion, qu'il se rebellait contre son père, habituellement si gentil. Jamais durant son enfance, celui-ci ne l'avait frappée ou engueuler, au contraire, celle qui habituellement le sermonné n'était autres que sa mère. Une femme au sang chaud, gentille mais qui peut devenir très méchante si on touche à ses bébés ou son mari. Dans le village personne ne l'aimais, certains avait essayé de l'approcher, avec grand succès, jusqu'à ce qu'ils voyant l'irréparable chose qu'elle cachait. Personne n'en parle mais certain individu on disparut après avoir parlé à cette femme au lourd secret.
Pour le village, cette femme est maudite. Malheureusement pour Edward, tout ce dit en secret, personne n'ose dire au jeune homme que sa mère est ...
Le soleil finie enfin la longue descente, laissant place à un ciel noir éclairé par une lune ronde et blanche. Celle-ci était entourée d'un Halo de lumière rendant la vue encore plus claire.
Voyant que la pleine lune était un danger pour lui, Edward ce leva, et lorsque son corps fut droit, près à marcher, il vit au loin, son père courir vers lui en cirant quelques chose qu'il n'entendait pas. Près à marcher, le jeune homme, fatigue d'avoir eu le soleil en plein yeux, se les gratta avec l'avant de son bras, le rendant aveugle pour quelques secondes. Malheureusement ces quelques secondes furent fatales pour lui. Lorsque son bras sortie de sa vision, c'était trop tard. La forêt était déjà apparu, avec lui à l'intérieur.   

La nuit des cent tordWhere stories live. Discover now