Treizième partie.

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|• Trop de temps perdu, il est déjà trop tard. •|

A peine ai-je ouverte les yeux, que je me jette de mon lit et me précipite vers la chambre de mon petit garçon.

La porte claque sur le mur, un vent glacial me gifle et me fou d'énormes frissons, il n'est pas la, sa chambre est vide, c'est dinosaures sont au sol comme il les avaient laissé, mais il n'est pas la, mon bébé n'est pas la..

Mes genoux claque contre ce sol froid, mon corps tout entier s'écroule par terre, et les larmes au goût saler coulent sur mes joues.

C'est bien réelle, j'aurais tellement aimer me réveiller et ne constater que tout cela n'étais qu'un cauchemars, mais non, tout cela est vrai, j'ai vraiment enterré mon fils.

« Mon bébé, tu as passé neuf petit mois à l'intérieur de mois, tu as manifestée ta présence à cinq mois tout rond, tout rond comme mon bidon qui prenait des formes pour te laisser évoluer correctement, lorsque tu es née j'ai mill fois remercier dieu de t'avoir donner à moi, tu as était la plus belle choses qui me soit arrivée dans ma vie, je me souviens mettre entraîner mainte et mainte fois sur un poupon, à changer des couches, à essayer de le tenir correctement dans mes bras, pour que tu commence bien ta vie dans ce bas monde. Ton premier crie, mes dernières poussés, j'ai eu tellement mal au début, je me rappelle avoir même voulu ne plus accouché, et lorsque je t'ai eu dans mes bras, j'ai compris que cette douleur était la douleur du bonheur, tu as était un magnifique cadeau, et je t'es désirer comme jamais. Les trois premiers mois j'étais méfiante, j'avais tellement peur de mal m'y prendre avec toi, mais je savais répondre correctement lors de tes pleures, j'y arrivé, et j'étais seul, je t'es vue évoluer, j'ai vue ton visage changer, tes yeux devenir vert, je t'es vue devenir un vrai petit homme, tu as était ma plus belle fierté ici, mon plus beau combats, mais aussi un lourd secret, je suis tellement désolé de t'avoir privé d'assistance paternel durant c'est quatre années, mais je ne trouver pas que ton père était assez bien pour t'élever, tu mériter toujours mieux, lors de tes premiers pas, j'étais la, j'ai toujours là video, j'ai étais la pour te relever de tes chutes. Lorsque tu as soufflé ta première bougie, je me rappèle avoir vue tes yeux briller, j'avais commander un gâteau Mickey au chocolat, tu raffoler le chocolat, lors de ta seconde bougies je me rappèle t'avoir appris à être propre, première année d'école, j'ai vraiment eu du mal à me détacher de toi, puis tu as pris tes ailes mon petit ange et tu as foncer dans l'aventure, première fête des mères, premiers cadeaux, c'est bien à partir de ce moment là que j'ai étais réellement sur de mon choix, t'avorter aurait était une très grande bêtise, les années ont passé tellement vite, tu as grandis à vitesse grand V, sixième années dans ce bas monde, et la ma plus grande frayeur, un séjour à l'hôpital, avec le bras cassé, tu m'en a vraiment fait voir de toutes les couleurs, nombreuses sont les fois ou j'ai faillit faire des arrêt, je n'ai pas était la lorsque tu as souffler ta dixième bougies, je m'en suis voulue et je m'en veux toujours aujourd'hui, le 14 mars mon petit ange tu as rejoins les cieux, tu nous as quitter pour le monde de là-haut, tu me manque tellement, c'est comme une pointe sur le cœur qui ne partira jamais, mon fils, les fautes de certains son difficiles à pardonner, j'y aurais laisser ma vie pour toi, je serais morte pour toi, avec du recule, j'aurais préféré mourir que de ne vivre ta mort, tu sais, tu resteras toujours mon premier petit garçon, mais maintenant tes frères et sœurs ont besoins de moi, je suis désolé mon enfant, ne croit pas que je vais t'oublier, jamais je n'oublierai mon petit bonhomme, personne ne choisit son destin, tu n'a pas eu de quoi survivre, ta vie à était tellement courte tu n'as pas eu le temps de vivre de rêver où même de construire , maman ne t'oubliera jamais mon Prince.

Ta maman qui t'aime fort.. »

Pour mes quatre autres enfants je me devait maintenant d'avancer, même si le combat à venir sera lourd, je suis obliger de rester debout, parce qu'ils ont également perdu leur grand frère, et que je suis leur mère, et qu'ils ont plus que jamais besoins de moi, pour surmonter cette épreuve, et retrouver le sourire.

Prête à tout pour mes enfants. TOME IIWhere stories live. Discover now