Cela fait plusieurs jours que je suis retenue captive dans cette foutue chambre. Heureusement pour moi que j'ai gardé une miche de pain du dernier "repas" que Jeff m'avait donner.
La maison était calme , un peu trop à mon goût ceci ne présage rien de bon. Avait il fini de jouer avec moi ? A t il décidé de me laisser mourrir ?
Au moment d'ouvrir la bouche pour grignoter le reste de pain, ma joue gauche recommença à me lancer. Je porta ma main vers celle ci et je sentis la balafre que m'avait faite Jeff c'est alors que des images des corps ensanglantés de mes camarades de classes me reviennent en tête. Je me mit à hurler pour les faire fuir.
"Je suis en plein cauchemar. "
Je ramenais mes jambes sur ma poitrine et me caressa à le bras pour me réconforter.
"Maman tu me manques tellement, je n'arrête pas de penser à toi qui doit être seule à te demander où je suis. Pourquoi est ce arriver après la disparition de papa ? Je n'aime pas te savoir seule à la maison. Je n'aurai jamais dû aller à cette soirée, je n'ai penser qu'à moi encore une fois. Je ne suis qu'une égoïste tout est de ma faute."
J'ai envie de ressentir toute la souffrance que je fais à ma mère et aux familles de mes camarades mais rien dans cette chambre n'est utilisable pour se que je voulais me faire subir.
J'enfonça alors mes ongles dans mon bras et cinq petites plaies commencèrent à saigner. Une larme roula sur ma joue.
Pourquoi ne suis je pas morte ? Pourquoi m'a t il garder en vie ?
Je me sens minable, j'ai envie de retrouver ma mère.
J'entendis le moteur de gros 4x4 arriver devant la maison. Je me leva d'un seul coup et frappa le mur avec le peu de force qui me rester. Au même moment la porte d'entrée s'ouvrir violemment et je perçu les pas lourds de Jeff dans les escaliers.
La porte s'ouvrit, il s'avança vers moi avec un air menaçant :
"Je t'avais prévenu et la c'est le bruit de trop ! "
Il s'arrêta et dévisagea mon bras puis mes doigts ensanglantés.
"Oh ! Joli ! Je ne pensais pas ça de toi. Mais y a un truc qui me gêne normalement c'est moi qui a le droit de te détruire."
Il poussa un soupir.
"Tu m'enlève tout le plaisir là. Bon tu ne me laisse pas le choix."
Il sorti de la chambre et descendit les escaliers. Plus tard quand il revint dans la pièce, il tenait une paire de menottes. Il me fit aller sur le lit et m attacha les mains aux barreaux du lit.
"Voilà attacher comme ça tu ne te fera plus mal et je pourrais savourer chaque plaies que je te ferai."
