Enfait je ne saurais le dire autrement qu'en ce langage que j'estime être le plus approprié.La brutalité et la pression que ces mots m'imposaient m'amenaient á accepter malgré moi le fait que cet homme qui m'avait mis au monde n'était rien d'autre qu'une salle crapule qui parmi les vermines n'avait même pas le droit d'exister.Heureusement elle le disait á voix basse.Il était deux heures du matin,l'heure du retour de son père.Pour confirmer sa venue,c'est les cris poussés par sa mère sous la cession des coups qu'elle recevait de son père îvre.Ces cris qui assiégeaient son sommeil de cauchemards inexplicables avaient rendus ses nuits mouvementées.Et á chaque fois qu'elle se reveillait:Elle maudissait le jour oú elle vit le jour.Celá depuis sa plus tendre enfance.
Kilya est l'aînée d'une famille de six enfants,elle a deux petits freres et trois petites soeurs.le destin a voulu qu'elle porte ce fardeau familial comme elle-même l'appelle sur sa conscience .Á chaque reveil elle se dit: j'aurais peut-étre mieux fait de ne pas voir le jour,de cette manière,j'aurais évité á moi-même et á certaines personnes le supplice de supporter ma caricature de personne chaque matin á leurs reveils et même par un pur hasard dans une ruelle de mon quartier...devrait-on la qualifier de negativiste ou simplement de pessimiste???Ou peut-être était-elle juste un peu trop réaliste sur le fait de supporter malgré elle le mal que sa mère vivait? Bref la suite nous en dira plus...<<Car se dit-elle je suis entrain de supporter les caprices de mon destin car personne d'autre ne le fera á ma place>>.
C'ètait le chapitre 1 de saison noire.Bonne degustation...
