O.S ZoSan

[OS n•1] Journée particulière dans magasin particulier...

Hello ! Je suis de retour après une énorme absence ! J'ai décidé d'ouvrir un livre où il n'y aura que des OS ZoSan bien sûr 😁 ! Celui est un UA. Attention ⚠ ! ÉNORMÉMENT d'allusions et language un peu cru.
J'espère que vous aimerez, on se retrouve en bas ^^ !

Une très belle journée extrêmement chaude du mois de juillet, Zoro et Sanji avaient eu la bonne idée de "sortir pour faire les courses", avait dit le blond. Et qui dit faire les courses dit forcément prendre la voiture. Et les voilà donc en train d'étouffer dans leur voiture à l'air casiment irrespirable à cause de la chaleur qui s'y trouvait. Et même avec les fenêtres ouvertes, ils ne voyaient pas la différence. Le comble de tout était qu'ils étaient coincés dans les bouchons qui ne semblaient ne pas se finir sur l'autoroute. Les klaxons, le soleil tapant et les bouchons énervaient aussi bien le blond, qui conduisait, et le vert, qui lui se plaignait et râlait de temps à autre pour tout et n'importe quoi.

"Putain, peuvent pas avancer ces voitures de merde là...
_Hé Marimo t'es pas le seul, moi aussi je suis coincé, mais arrête de te plaindre toutes les deux minutes, tu veux ?
_Nan mais sérieux regarde le celui devant à droite là... Il croit que c'est le moment de regarder son téléphone... Pauv' con va...
_...
_Et c'est moi ou y'a un putain de gosse qui chiale depuis tout à l'heure ? J'te le dis Cook, compte pas sur moi pour l'adoption, ce sera direct non..."

Sanji serra la mâchoire, le volant qui se trouvait sous ses longs doigts, fronça les sourcils et fit semblant de ne plus entendre son idiot d'amant. Non pas que ce qu'il lui avait dit l'avait blessé, non pas du tout et loin de là, il s'en foutait même, mais se retrouver avec un homme qui se plaignait tout le temps sous une chaleur écrasante le stressait et le faisait suer encore plus.

"Pfoua !, s'exclama Zoro en recrachant de l'eau ! L'eau est dégueulasse, elle a chauffé putain...
_....
_Pffff... Et celle-là devant qui se remet du gloss comme-ci de rien n'était.... Elle croit qu'on a le temps nous ? Connasse va..."

S'en fut trop pour Sanji qui lui assèna un gros coup de coude dans la poitrine. Zoro poussa une exclamation de douleur avant de reprendre péniblement et bruyamment son souffle.

"Putain.... C'est.... C'est quoi ton pro... Problème Cook ? Tu veux... Ah... Me tuer ou quoi ?
_En ce moment, là, maintenant, oui vraiment ! On ne traite pas une lady comme ça ! Tu vois pas que c'est boucher ou t'es con ?! Même elle ne peut pas avancer ! Alors, soit tu la mets en veilleuse jusqu'à ce qu'on arrive, soit c'est abstinence pendant deux semaines ! Et tu sais que j'en suis capable Marimo !"

Ce à quoi le dit Marimo ne répondit rien. Oh oui qu'il savait qu'il en était capable. Une fois Sanji l'avait défié de faire ça et ce crétin d'homme aux cheveux verts avait accepté.... Ce fut les pires 28 jours de toute sa vie... Sanji était resté ferme et la proposition avait été non négociable. Heureusement pour Zoro qu'à l'époque, ils en étaient au mois de février. Ne pas avoir pu toucher le corps de son amant pendant un mois fut éprouvant pour lui. Alors une fois arrivé en mars, Sanji se souvint s'être carrément fait réveillé à minuit par un homme terriblement en manque. Ses fesses se sont souvenues de cette nuit là pendant un bon moment. Faut dire que Zoro n'avait pas été doucement avec son corps. Loin de là qui en déplu à Sanji, au contraire même.

Poussant un sourire de satisfaction, Sanji se recala bien dans son siège et sourit soulagé. La route commençait enfin à se dégager.

*~Une heure et demie plus tard~*

Se pinçant l'arête du nez d'une mine vraiment agacée, Zoro s'adressa à Sanji :

"Cook t'es sérieux ?
_On ne peut plus Marimo.
_Tu veux dire qu'on a cuit dans cette putain de bagnole pendant près de trois heures pour venir dans une animalerie ?!
_Entre autre. Mais c'est pas n'importe quelle animalerie, c'est la plus grande d'Europe.
_Ah ?
_Mais oui tu sais, il arrête pas d'en parler de cette nouvelle animalerie.
_J'm'en fous de ton truc moi ! Je croyais que je devais venir pour porter des trucs !
_Si on achète un animal, j'aurais besoin de toi pour porter sa nourriture et les accessoires qui vont avec.
_Et tu me demandes même pas mon avis ? On vit ensemble quand même.
_Pas besoin, je sais que t'aurais accepté.
_Ah ouais et comment tu le sais ? Peut-être que je ne veux pas.
_Dans ce cas, j'ai un très bon moyen de négociation..., murmura le blond dans son oreille avant de la lui lécher et de lui embrasser le lobe."