Casta diva,
Norma.
Je l'imaginais parée d'une robe blanche,
Mais de celle que l'on voyait après la revanche.
C'est une autre toilette blanche que Bellini composa,
Celle d'un temps où la fibule se portait et sans manche.
Casta diva,
Norma.
Mais alors, les sentiments tout autant, s'épanchent,
Et Norma chante de sa pervenche voix ;
Elle chante jusqu'à ce que le coeur penche,
Penche vers l'au-delà,
Casta diva.
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Les Femmes de cinquante ans ont un charme que les autres n'ont pas
PoetryLa Femme magnifiée, la Femme célébrée. Une poésie légère ou teintée de gravité, opaque et/ou délectable. La plupart de ces nouvelles poésies forment des quatrains, une forme difficile où il faut tout dire en peu de vers. L'intensité n'en est que pl...