For (N)ever {Justin Bieber}

-5-

*PDV Justin*

Marie : Alors ? Tu l'appelles à quel heure ?

Moi : Dans cinq minutes.

Marie : Je vais prendre ma douche.

Moi : Prends pas toute l'eau chaude.

Marie : Tu veux peut-être enfé l'utiliser avec moi !

Je tournais ma tête vers elle, on se regardait quelques instants dans les yeux et on éclatait de rire. Je l'a poussé avec mon pied sur ses fesses vers la salle de bain.

Moi : Arrête de te foutre de moi.

Elle me fit un clin d'œil et partit sous la douche.
Je sonnais Less.

FaceTime.

Je voyais la caméra bouger puis se fixer sur mon amour. Elle était trop jolie, même sans maquillage, c'est fou. Ses yeux étaient toujours aussi magnifiques, elle était tout ce qu'il me fallait.

Less : Justin ? Tu vas bien ?

Je secouais la tête pour revenir sur terre.

Moi : Oui mon amour, c'est juste que ta beauté m'ébloui.

Elle gloussait.
C'est le plus beau son qui m'est donné d'entendre. Après le son d'elle qui gémit mon nom dans mon oreille.

Less : T'es vraiment à l'ouest.

Moi : De quoi ?

Less : Je te disais que pour un mec qui devait être un BadBoy, t'es plutôt Good.

Moi : C'est de ta faute.

Less : Mais oui mon bébé.

Moi : Ne m'appelle pas comme ça.

Less : Mais je t'appelle tout le temps comme ça.

Moi : Oui mais c'est par message. Là de te l'entendre dire, ça me met dans tout mes états.

Less : T'es un fragile Justin.

Moi : C'est toi qui me chauffe.

Less : N'importe quoi, t'étais pas comme ça à la maison, quand je t'appelais bébé d'amour.

Moi : Oui mais ça c'est parce que je pouvais te toucher. Et là non. Je suis en manque de toi et de ton corps et de tes papouilles et de tes câlins et de nos conversations et de nos journées au lit et de nos...

Less : Mon bébé d'amour, j'ai compris.

Moi : Tu me coupes alors que je suis passé en mode loveur number one pour mon amour de ma vie.

Less : Mon chéri, toi aussi tu me manques.

Moi : C'est quoi qui te manques ?

Less : T'es bras, ton odeur, t'es cheveux, ton regard brûlant qui se pose sur moi, ta bouche, tes mains, ton nez, tes joues que je prenais dans mes mains quand je t'embrassais. Ton torse et tes battements de cœur qui me berçaient.

Moi : Mon amour, j'ai mon cœur qui va exploser.

Less : Ah non, tu restes en vie.

Moi : Je t'aime tellement.

Less : Je t'aime.

Moi : Moi, ça me manque de ne plus pouvoir te serrer dans mes bras quand j'en ai besoin. Et normalement j'en ai besoin au moins cinq fois par jour. Ça me manque de ne plus pouvoir de masser les oreilles car je sais que ça t'apaise. Ça me manque de ne plus pouvoir embrasser ton cou et y laisser des traces pour que tout les autres cons remarquent que tu es à moi.

Less : Mon cœur va exploser aussi je crois.

Moi : Tu vois !

Less : Mon bébé.

Moi : Je t'avoue aussi que ça me manque de ne plus te toucher. De plus toucher les courbes de ton corps, d'embrasser ta poitrine et de te sentir. De me sentir bien, nos peaux l'une contre l'autre, ensemble. Je sais que tu peux prendre ça comme quelqu'un de pervers qui ne pense qu'à ça mais..

Less : Mais non Justin, moi aussi ça me manque de ne plus te sentir aussi proche de moi. Je t'aime.

Moi : Tu sais, quand nous sommes comme ça, tout les deux, complètement offert l'un à l'autre, c'est un moment indescriptible. Je me sens comme complet. Je sais que c'est difficile à comprendre mais dans ses moments là, je me sens tellement bien et confortable. Pas que je ne le suis pas normalement avec toi. C'est juste que, quand on se sépare après, c'est comme si j'étais vide.

Less : Je te comprend Justin. Je ressens la même chose, je te le jure. Je t'aime tellement tu sais, et j'espère pour toujours. For ever.

Moi : J'ai tellement hâte de te revoir. Tu me manques trop. J'en peux plus.

Less : Encore un mois et trois semaines.

Moi : Un mois, deux semaines et cinq jours.

Less : Tu comptes ?

Moi : Ouais, j'ai...

J'entendu la porte de la salle de bain s'ouvrir. Je me retournais et voyais Marie. Je lui sourit et retournais sur mon téléphone. Less avait une mine bizarre.

Moi : Amour ? Ça va ?

Marie s'avançait et saluait Less, un grand sourire sur le visage.

Marie : Salut Less. Je reviens, je vais m'habiller.

Elle sortit et je remarquais la mine confuse de ma puce.

Moi : Ma princesse ?

Less : Qu'est-ce que Marie faisait dans TA salle de bain ?

Houla, vu le ton qu'elle emploi, ça sens les emmerdes.