Prologue.

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Bonjour chers lecteurs ! Ceci est ma toute première histoire, soyez indulgent ;) C'est loin d'être parfait, aidez moi à le rendre presque comme tel ! j'espère que vous prendrez du plaisir à la lire !


                                         Cette nuit d'automne, Chloé était à sa fenêtre, sa guitare à la main et ses pensées virevoltant dans toute la pièce. Elle aimait bien respirer l'air de l'extérieur après la pluie, probablement l'une de ses choses favorites. Les gouttes d'eau ruissellaient sur la fenêtre, l'odeur des fleurs fraichement emmenées parfumaient sa chambre. Les énigmes toquaient à nouveau à sa porte. Ils avaient bien choisi leurs moment. Les nuages se faisaient de plus en plus nombreux au dessus de la ville. Le jardin en dessous d'elle se faisait de plus en plus sombre. Cette absence de soleil redonnait fraîcheur à cette journée chaleur tardive d'automne. Elle essayait d'ouvrir la porte des énigmes qui l'appelaient et d'y répondre. Il faisait maintenant sombre et frais. Elle essayait de composer un morceau de mélodie, en vain. La pluie tombait encore, noyant les feuilles mortes. Ce soir, Chloé était trop triste pour ça, pour tout. Ses sentiments s'entrechoquaient entre eux. Ils se mêlaient à la pluie, se mélangeaient, se noyaient. Elle ressentait les deux heures du matin qu'indiquaient l'horloge de l'église mais l'insomnie s'emparait d'elle. Elle continuait de  gratter sa guitare, encore et encore. Un peu plus tard, elle s'endormis avec la fenêtre entrouverte, sans s'en rendre compte. Le vent entrait dans sa chambre, bougeait les pages une à une d'un de ses carnets ouverts. Le vent s'était arrêtée sur une page ou les tâches d'encre se nuançaient de plein de couleurs froides et les mots écrits étaient devenus indéchiffrables, étant effacées par le temps. Pourtant elle les connaissaient par cœur. Un autre courant d'air arrivait, et ouvrait cette fois ci un livre, que Chloé connaissait aussi par cœur. Après la courte nuit passée, aucun rayon de soleil ne traversait sa fenêtre, aucun oiseau ne chantait. Une autre nuit passée, un autre matin à vivre, une autre journée à écouler. Il était six heures du matin. Il commençait à pleuvoir, encore, plus abondamment qu'avant. Tout lui semblait dispersée, loin d'elle. " Tout le monde n'est pas comme toi, tu sais". Ces mots raisonnaient dans sa tête, ils s'enivraient de sens, puis s'en dénudaient, et finissaient par s'en aller, non loin d'elle, pour pouvoir la retrouver. Prisonnière. Prisonnière de ses propres pensées. " Tout le monde n'est pas comme toi... ". Elle faisait le tour de sa chambre du regard pour ensuite se fixer sur le livre, ce fameux livre qui avait tout ravagée, qui avait été ouvert par le vent. Quelle ironie. La page était celle qu'elle redoutais. Celle ou tout a commencé.


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Voilà, je me suis lancé, mon premier texte enfin publié !
Comment l'avez vous trouvé ?
Et merci pour tout vos commentaires !
À bientôt pour la suite ! ;)

Zébrures   [En Cours d'écriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant