Chapitre 14 : "Et moi à ma soeur"

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CHAPITRE 17.


Nous avons notre journée aujourd'huialors Jorge et moi avons décidé de visiter New York, et tant donnéque c'est magnifique.

Nous étions rentrés pour nous changerpour la jorunée. J'avais mis un jean bleu foncé, des Conversesnoires et un t'shirt assez long avec ma veste.


-''Tu es prête? '' me demandaJorge doucement


Je lui rpéondis positivement puis onsortit de l'hôtel. On marchait dans les petites rues quand j'aperçusune jolie boutique. Jorge était au téléphone. Je lui prévins quej'allai dans ce magasin.

J'y pénétrai et m'achetai une jolierobe bustier noire. Je payai puis sortis.

Je ne vis pas Jorge alors je restai surmon téléphone quand je sentis ses bras s'enroulaient autour de mataille. Je vis apparaître une boîte à bijoux que j'ouvris face àlui. J'y vis un collier avec un diamant au bout.





- »Mais Jorge, t'es fou, ça a dute coûter une fortune ! » m'exclamai-je

- »Ca ne te fait pas plaisir ? »

- »Mais si bien sur que si »rigolai-je


Je l'embrassai doucement. Il me mit lecollier autour de mon cou et je le réembrassai.


Il mit son bras autour de mes épaulespuis on continua la marche.

Nous prîmes le métro pour aller à laStatue de la liberté.

Arrivés à destination, on monta toutlà haut.


- »Je ne suis jamais montée. »dis je en regardant la hauteur.

- »Ah bon? »

- »Oui , pourquoi ? Tu es monté souvent toi? »

- »J'ai vécu pendant deux troisans à New York avant que ma mère meurt, donc j'y allai trèssouvent, c'était un peu notre sortie habituelle »


Je lui souris puis on monta. C'étaittellement beau. Je me mis face à New York et Jorge mit ses mains surmes hanches. On restait comme ça pendant au moins 10 minutes puis ilcommençait à pleuvoir. Les personnes rentrèrent petit à petitmais pas moi. J'adore ce temps, il pleut mais il fait quand mêmechaud. Mes vêtements et mes cheveux étaient de plus en plusmouillés mais j'adorais ça.


- »On devrait peut être rentrés non ? » dit Jorge


Je fis une mine de chien battu puis onresta là, à deux sous la pluie.

Il m'embrassa et je prolongeai lebaiser. Je ne voulais pas que cela s'arrête. Il finit par coller sonfront au mien puis je lui fis un calin. J'étais tellement bien. Lapluie ne cessait pas de tomber. J'étais vraiment extrèmementmouillée et Jorge aussi mais je m'en fichais complètement.

Il était à présent dix-sept heurestrente et on décida de partir. On alla dans un etit centrecommercial puis on prit un Starbucks en faisait les boutiques.


Il était maintenant dix neuf heures.


- »J'ai trop faim » ditJorge

- »Moi aussi, vu que j'ai pasmangé ce midi. »

- »Je te signale que moi aussi. »

- »Bah moi aus... »

Il m'embrassa pour que je me taise.


- »Tu parles trop »sourit-il


Je rigolai contre ses lèvres puis ilfit son sourire, le sourire que je trouvais si craquant.


Jortini, Un Métier Pas Comme Les AutresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant