Chapitre 33

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Ce matin, je me réveilla assez bien malgrè hier soir. J'appercu mon portable posé à côté de moi, sur la table de nuit. Je le pris et regarda l'heure. 7h46. Je me tourna et contempla mon chérie. Dylan. Je ne vais pas le réveiller. Il est tellement mignon quand il dort. Je me leva et sortis sans faire de bruit de la chambre. Je décendis dans la cuisine, puis fis le petit déjeuner des garçons. D'ailleurs, ils décendirent peut de temps après. Junior et Hugo me firent un bisous avant de se jeter sur le canapé pour regarder la télé. Je leur apporta leurs déjeuner puis retourna dans la cuisine pour me servir un bol de muesli. Je regarda mes messages sur facebook. Enfin, je regarda les messages de Marie.

Marie: (en français) "Emma, on ne sait toujours pas reparlé, tu vas bien?"; "Emma, ça fait deux jours que je t'ai envoyer un message et tu ne m'a toujours pas répondu"; "Putain Emma tu fou quoi? ici, ça craint papa et repartit à Madrid afin de te chercher, fais attention!".

Moi: (en français) "Désoler Marie de ne pas t'avoir répondu plus tôt. Je te remercie de n'avoir rien dit à tes parents par rapport à ce que je t'avais dit. Je sais que papa me chercher, et il m'a trouver. Mercredi (je crois), j'ai un procès avec lui pour savoir si je rentre à Paris ou pas... Et je suis désolée de te dire ça mais même si il gagne ce procès, je ne rentrerai pas. J'ai ma liberté. Je m'en veux tous les jours de te laisser avec ces monstres... Mais ne t'inquiète pas, bientot, tu pourra partir toi, et les autres s'il veulent aussi, je vais trouver une solution. Sinon, oui je vais bien, et toi? Tu vas peut-être trouver ça bizarre de ma part mais je suis en couple avec un super gars! Je sais que tout ça doit te paraitre bizarre parce que je ne te dis rien sur ma nouvelle vie, mais je tiens à te dire que tu serra tout, bientot. Bisous, je t'aime."

Soudain je sentis deux bras m'anlacés. Je suceauta. Du calme, ce n'est que Dylan.

Dylan: (en espagnol) Eh ben, on a peur de moi maintenant?

Moi: (en espagnol) Pff, Jamais!

Dylan: (en espagnol) Tu faisais quoi?

Moi: (en espagnol) Oh, rien...

Dylan: (en espagnol) Tu sais pas mentir.

Moi: (en espagnol) Arrête, je répondais juste à un message.

Dylan: (en espagnol) De qui?

Moi: (en espagnol) Oh! Mais j'ai droit d'avoir une vie privée aussi!

Dylan: (en espagnol) (en tendant sa main) Non, donne ton tel.

Moi: (en espagnol) Dylan, Tu commence à me faire chier de bon matin là!

Dylan: (en espagnol) Donne.

Je le regarda dans les yeux puis partis en le bousculant mais il me ratrapa le bras et me prit mon portable de force.

Moi: (en espagnol) Oh!! Tu fais quoi la!!

Dylan: (en espagnol) Ta gueule y a les petits à côté!

Moi: (en espagnol) Non, toi ta gueule! Maintenant tu me rends ça!!

Dylan: (en espagnol) Tu va t'en prendre une si tu continue.

Moi: (en espagnol) J'en ai rien à foutre tu me rends ça!!

Sa main s'écrasa contre ma joue. J'ai les larmes aux yeux, mais je reste forte. Je lui jeta un regard noir puis me dirigea vers sa chambre. M'habilla et m'apprétta à faire mon sac quand il rentra à son tour.

Dylan: (en espagnol) Tu fais quoi là?

Je ne répondis pas, ce qui l'enerva encore plus. Je continua à faire mon sac quand il me stoppa en m'attrepant le poignet.

Dylan: (en espagnol) J'ai dis, tu fais quoi là?

Moi: (en espagnol) Déjà, de un tu me lâche (il me lâcha) et de deux ça se voit pas? Je me casse!

Dylan: (en espagnol) Non, tu va venir avec moi.

Moi: (en espagnol) Parce que tu crois que j'en ai envie moi?! Passer du temps avec toi?! Je t'aime et toi tu me tarte?!! Mais c'est une blague ou quoi?!!

Dylan me prit en "sac à patate" sur son dos.

Moi: (en espagnol) Non!! Tu me lâche ok?!!

Dylan: (en espagnol) On ne dit pas "ok".

Moi: (en espagnol) (en murmurant) Va te faire foutre.

Il n'enterdit pas. Tant mieux. Il continua à avancer jusqu'à arriver devant une grande porte qu'il ouvrit. Une salle de boxe. Il me posa à terre et reprit.

Dylan: (en espagnol) Bon maintenant que tu tes un peut calmer tu va m'écouter.

Moi: (en espagnol) Je ne suis pas calmer Ramos. Donc je te conseille de la fermer.

Dylan: (en espagnol) Non, toi tu la ferme. Tu va venir avec moi à côté du sac en cuir.

Je ne bougea pas.

Dylan: (en espagnol) (en m'obligeant à me lever) Bon ben puisque la gamine ne veut pas bouger.

Moi: (en espagnol) Lâche moi.

Il me posa pile devant le sac en cuir.

Dylan: (en espagnol) Je t'en pris défoule toi.

Moi: (en espagnol) Tu me saoule.

Dylan: (en espagnol) Ne me défis pas gamine.

Moi: Tu me parles autrement.

Je sentis la colère me monter. Je frappa sans le vouloir de toutes mes forces dans le sac. Je le vis avec son sourire. Ce con est fier de lui. Il m'énerve. Je m'arrêta net puis me dirigea vers la porte pour m'enfuir mais c'etait sans compter sur la main du fameux Ramos qui me ratrappa par l'épaule. Je me retourna et le tarta. Je vis de la colère dans ses yeux. Sa mâchoire se crispa. Ses poings se serrérent. Je n'ai pas d'autres solutions. Je l'embrassa. Et ça le calma puis il me rapprocha de lui en me tenant par la taille.

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