seul et unique chapitre

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Il faisait froid. C'était un soir d'hiver, un de ceux qui se ressemblent tous. Marie rentrait des cours, assise au fond du bus presque vide, elle regardait la forêt déffiler par la fenêtre. Le soleil se couchait et il ferait bientôt nuit, les ténèbres apparraîtrons, la douce lumière de lune transformant n'importe quel objet en une ombre terrifiante. Il n'y avait jamais de voitures sur ces routes de campagnes, lorsque le bus tranversait un village, il ne croisait personne. La musique à fond dans ses oreilles, Marie n'avait pas remarqué que le bus s'était vidé. Elle leva la tête pour jeter un coup d'oeil et vit que le bus était vide, exepté un garçon, assis quelques sièges devant elle. La jeune fille ne pouvait voir qu'une touffe de cheveux d'un noir profond. De dos, elle ne le reconnu pas, bizzare, il ne reste plus qu'un arrêt, celui de son village et elle y connaissait tout le monde. Du moins c'est ce qu'elle pensait. Marie replonga dans ses pensées, regardans les arbres défilés. Soudain une ombre attira son regard, le bus allait trop vite, elle n'eu pas le temps de bien voir mais... on aurait dit... un loup. Non! Impossible! Il n'y a plus de loup ici depuis des decennies.

Le véhicule s'arreta brusquement. Le conducteurr marmonna quelque chose qu'elle n'entendit pas puis il descendi. Ce devait être une panne d'escence ou un pneu crevé, rien de grave. Elle jeta un coup d'oeil rapide au garçon mais il n'était plus sur son siège, il avait changé de place, sans qu'elle ne l'ai vu, en se rapprochant de Marie. A présent il était juste en face d'elle, de l'autre côté de la rangée et il la fixait étrangement. Elle l'observa malgrés elle, il y avait quelque chose qui l'attirait chez lui, comme si elle ne pouvait pas detourner le regard. C'était peut-être ses yeux, ils étaient jaunes, éclatant, comme s'il riait,lorsqu'elle se rendit compte de ce qu'elle était entrain de faire, marie se retourna vers la fenêtre, en esperant que le conducteur reviendrait vite, pour ne pas rester trop longtemps seul avec ce mec. Mais un bruit se fit alors entendre, un cri, celui du chauffeur. Le sang de la jeune fille se glaça. Elle était pétrifié. Le garçon déscendit du bus, la laissant seule. Les veilleuses qui étaient resté allumées au sol s'étaignierent. C'était le noir complet, les ténèbres. Marie pris une grande inspiration, pour ne pas commencer à paniquer. Elle allait telephoner à quelqu'un pour qu'on vienne la chercher et tout irait bien. La jeune fille sortit son portable et composa le numero de chez elle mais elle ne captait rien ici. Il fallait qu'elle sorte, dans la nuit, seule, alors que deux hommes avaient disparu -le conducteur et le mec bizzare. Aller soit courageuse Marie, tout va bien se passer. Elle repris une grande inspiration et tranversa le bus vide. Losqu'elle descendit, elle fut frapper par un vent glaciale, assez inabituel ici. Elle ne voyait rien, il faisait trop sombre et le arbres qui se levaient autrour d'elle ne laissaient pas filtrer la faible lueur de la lune. La jeune fille se depecha de sortir son telephone et recomposa le numero. Toujours pas de reseau. Elle avança. Encore. Toujours rien. Soudain un bruit. Une branche qui craque. Un coup de vent. Elle se retourna. Rien. C'était peut-être le mec de tout à l'heure qui essayait aussi de joindre quelqu'un. Alors elle appela:

Hey, y a quelqu'un?

Aucune reponse. La jeune fille voulu se rassurer et recommenca.

Y a quelqu'un ? S'il vous plait ce n'est pas drôle!

Toujours pas de reponse. Marie commença à marcher, elle pourrait rentrer chez elle à pied, ca ne devait pas être trop loin. Mais quelque chose la stoppa. Elle se sentit projetté en arrière. Comme soulevé par une force. Elle rattérit quelques mettres plus loins, losqu'elle se releva, sa main toucha un corps, oui s'était bien un corps. Elle alluma la lampe torche de son téléphone et le plaça, avec hésitation, au dessus du corps sans vie. C'était le vieux chauffeur de bus. Le pauvre avait les bras arrachés, ceux-ci jonchaient non loin, ses habits étaient pleins de sang et il avait les yeux grand ouvert qui fixait la jeune fille. Cette dernière étouffa un cri et perdi l'équilibre, manquant de tomber sur le pauvre homme. Soudain, elle sentit un souffle sur sa nuque, lentement elle se retouna et le vit.

Il avait de yeux jaune qui transpersaient l'âme de ses victimes. Son souffle glaciale vous glacais le sang. Quant il était à côté de vous c'est comme s'il faisait disparaitre toute joie, tout bonheur, comme s'il n'avait jamais existé, comme si vous ne pouviez plus jamais ressentir autre chose que de la tristesse ou de la peine. Il était immense, aussi grand qu'un homme losqu'il se tenait sur ses quartes pattes. Et il s'émanais de lui une odeur immonde, putride. Son poil était épais et rugeux, à certain entroit, sous son museau, il était collé par une subtance épaisse. Marie remarqua une autre odeur, une odeur métallique, elle la reconnu. L'odeur du sang. L'énorme animal fit un pas en avant, se rapprochant un peu plus d'elle. La jeune fille senti son souffle dans ses cheveux, son haleine de viande avarié. Il grognait et se rapprochait de plus en plus. Elle ne pouvait pas s'en sortir. S'en était fini pour elle.

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⏰ Last updated: Dec 21, 2016 ⏰

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Le loupWhere stories live. Discover now