09.

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09. " Régler un bail. "

Je referme directement la porte. Mais ma mère vient en me regardant bizarrement et me disant :

« Elle- Amor qui est-ce ?

Moi- N'ouvre pas la porte. Elle mérite de rester dehors. »

Elle ouvre quand même et bloque sur son visage. Sophya arrive avec un plat vide dans les mains.

« Sophya- C'est qu.. »

Elle lâche tout d'un coup, je me dirige vers elle ( pas Sophya ) et l'étrangle en la plaquant contre le mur du couloir de dehors.

« Moi- GROSSE PUTE !! COMMENT T'AS PU FAIRE ÇA ?! ELLE ALLAIT CREVER LA PUTAIN DE TA MÈRE ET VOUS ÊTES PARTIS COMME DES PUTES !!

Elle- AR..RÊTE TU...VAS...ME...TUER !

Moi- J'Y COMPTE BIEN !! »

Je la prends par les cheveux et la fait descendre les six étages allongé. Elle me suppliait d'arrêter. Je la soulève et l'explose contre le mur.

Je me mis sur elle, et la roua de coups. Mes mains étaient en sang, j'avais une haine tellement énorme que je n'arrivais plus à m'arrêter.

« Moi- J'AVAIS QUE 20 ANS !! 20 ANS ET J'AI DÛ AVOIR 9 PERSONNES À FAIRE VIVRE !! JE REVENAIS DU CUBA ET J'AI ARRÊTÉ MES COURS POUR LES FAIRE VIVRE !! PENDANT QUE TOI ET TES PUTES DE SŒURS VIVAIENT LA BELLE VIE !! TU SAIS PAS CE QUE J'AI DÛ FAIRE POUR QU'AUJOURD'HUI ELLES VIVENT BIEN !! NAN TU SAIS PAS !!

Saphya- ARRÊTE JASMYNE ARRÊTE LAISSE MOI T'EXPLIQUER !! »

On me soulève d'elle et me tire dehors. J'essayais de me débattre et en même temps j'ai pu voir toutes mes soeur sur les escaliers avec ma mère qui me regardait avec un regard de pitié. Les triplettes pleuraient et criaient pour venir me voir. J'arrivais pas à me détacher de ce visage, j'essayais d'y retourner pour aller la retaper mais impossible. On me tenait trop fermement. On arrive dans un endroit éloigné de tous les regards et enfin la personne me met devant elle.

« Lui- T'as perdu la tête de frapper une meuf comme ça ?!

Moi- Ferme ta gueule tu sais pas.

Husseïn- TU DIS FERME TA GUEULE À QUI EN FAIT ?!

Moi- À TOI Y'A QUOI ?! TOI AUSSI TU VAS ME CASSER LES COUILLES ?! J'suis assez énervée, ne m'énerve pas comme ça.

Husseïn- MOI AUSSI J'SUIS ÉNERVÉE ! TU CROIS QUE C'EST NORMAL JE REVIENS APRÈS TROIS SEMAINES ET ON ME DIT JASMYNE ELLE EST ENTRAIN DE DEFONCER UNE MEUF

Moi- À quel moment c'est ton problème ? Fout moi la paix je frappe qui je veux.

Je regarde les mains et vois que je suis ouverte à mort.

Lui- Regarde l'état de tes mains, c'est normal ça ?

Moi- Mdr depuis quand on a une vie normal nous ?

Lui- Vas-y ta gueule viens.

Moi- Non. »

Je me détache d'un coup de son emprise et court à ma voiture. Il me rattrape un peu avant que je quitte la ruelle et je tombe par terre en pleurant.

« Moi- On..a..pas..une..vie..normal...non..

Il s'accroupit à moi et me prend dans ses bras

Husseïn- Oh il t'arrive quoi là ?

Moi- J'y arrive plus Husseïn

Husseïn- Viens on décale. »

Je me lève et on prend sa voiture. Il conduit jusqu'à chez moi et on entre. Je vais dans ma chambre directement et m'écroule sur mon lit. Il me rejoint.

« J'recherche bonheur pour ma chair » -Jasmyne. Where stories live. Discover now