Mon psychopathe

•new present•

Ça fait aujourd'hui plus de 5 mois que je travaille à Arkham et je me suis bien intégrée. J'ai guéri pas mal de patient et plusieurs sont en face terminal. Je suis, d'après les médias de l'asile et mes collègues, la meilleur psychiatre de l'établissement. Chose qui n'a pas manquer de me fait grossir la tête et les chevilles. Je me suis fait une très bonne amie dans le service. Anya. Elle est vraiment gentille et passionnée par son travail, comme moi. D'ailleurs c'est elle qui me ramène chez moi le soir, vu que je n'ai pas de voiture et qu'elle habite à deux rue de la mienne. Donc aujourd'hui je me rendis à mon travail normalement mais en arrivant dans la cafétéria où tout le monde avait l'habitude de se rejoindre le matin, un silence de mort avait pris place dans la pièce et tout mes collègue baissaient les yeux. Au début je croyais que j'avais quelque chose sur le visage. Je m'approche d'Anya et lui demanda:
- Euh miss, pourquoi y'a personne qui parle? J'ai un truc sur le visage ou quoi?
- Non mais il s'est passé un truc hier soir, me dit-elle en chuchotant.
- Batman a attrapé le Joker. Il est dans une de nos cellules.
-Mais c'est génial!! m'exclamais-je. On s'est enfin débarrassé de se clown! Je comprends pas pourquoi vous êtes muets comme des carpes.
- Bah eh bein c'est que... commença-t-elle gênée, C'est toi sa psychiatre.
BAM! Cette nouvelle a eu l'effet d'une clac. Alors c'est pour ça que personne n'osait me regarder en face. D'après les rumeurs, touts les psychiatres qu'il a eu se sont, soit suicidée, soit sont devenu folles, soit sont mortes. Et je pense que tout le monde crois que je vais finir comme ça. Baliverne! Je suis une psychiatre pas une bête de foire qui m'enrage des que je tombe sur un obstacle. Le Joker est très intelligent, certe, mais les études que j'ai fait ne servent pas à rien. C'est comme un défis pour moi, et je vais essayer de le guérir même si je pense qu'avec un cas le siens c'est presque peine perdue.

Encore abasourdie par la nouvelle, je finis mon café et me levais pour rejoindre mon bureau. J'entendais Anya m'appeler, mais je ne répondais pas. Arrivée à mon bureau, je vis que, en effet, le dossier du Joker étais posé sur mon pupitre. Mr.Bocheran m'avait laissé un mot d'avertissement en plus du dossier. Il me restait encore 20 Minutes avant la séance avec le Joker. Je me permis donc de jeter un coup d'œil à son dossier:
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JOKER
Prénom: inconnu
Nom: inconnu
Âge: inconnu
Date de naissance: inconnu
Profession de base: inconnu

Note: patient intelligent et manipulateur. Se sert de ses victimes contre elles même.

Salle: 413. Bâtiment: A  Étage:1                                                       
                                             Luc Bocheran
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Ah ouais y'a aucune information. Je vais devoir me débrouiller pour qu'il me le dise. Ça devrait aller. Je me dirigea vers la salle indiquée et remarque que la porte est 2x plus épaisse et que des gardes armés la surveillent. Je leur montre mon passe et ils me laissent entrer. J'avance dans la pièce sombre éclairé par la faible lumière d'une fenêtre rectangle sur un mur près du plafond. Je me rends maintenant compte que j'ai affaire au plus grand psychopathe et mégalomane de tout Gotham et peut être de du pays entier. Je me crispa en voyant un dos me faire face. À pas de loup, je marcha jusqu'à la table et posa mes affaires dessus. J'essaye de me préparer psychologiquement et respire à fond trois fois avant qu'une voix rauque m'interrompt
- Bonjour Docteur.
- Bonjour Monsieur J. Je peux vous appeler comme ça?
- Faites.
- Bien, Monsieur J, je m'appelle Harleen Quinzel et je serais à partir d'aujourd'hui votre psychiatre.
Il se mit à rire d'un rire qui vous glace les tripes et se retourna face à moi, et je pus enfin le voir dans toute sa splendeur. Il avait les bras enfermés dans une camisole de force, les cheveux vert vif, une peau blanche comme la neige couverte de multiple tatouage, des lèvres rouges sang et son grand sourire laissait voir ses dent d'acier. Je déglutit difficilement car oui, au début je n'avais pas peur de lui mais maintenant que je l'avais en face de moi, j'étais terrorisée. Je passa une mèche de cheveux derrière mon oreille et sorti mon calepin
-Bien. Pourriez vous me raconter votre enfance? qui est peut être la cause de votre folie?
- Mais vous Docteur, raconter moi la vôtre.
- Ici c'est moi la psychiatre pas vous. C'est moi qui poses les questions, dis-je autoritaire.
- Mon enfance n'a rien de passionnant je vous l'assure. Mais si je passais ma vie avec une femme aussi belle que vous, je pourrais plus souvent me confier. Dit-il charmeur.
Je rougis instantanément. Je gribouilla quelques mots sur ma feuilles et me leva.
- Bien Monsieur J c'est tout pour aujourd'hui. On se revoit demain même heure.
- Au revoir docteur Quinzel! Dit-il avant d'éclater de rire. Je rentra chez moi après cette perturbante altercation.