J'attends

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La gorgé serrée et le coeur en miettes
Je regarde ceux qui restent
Pleurant des larmes chaudes et incontrôlables
Sur la mort improbable

Mon coeur à jamais t'appartiendra
J'attends le jour tout le monde te rejoindra
Le jour je te serrai dans mes bras
Oubliant ainsi tout nos embarras

Je pousse soupir après soupir
Pour essayer de remémorer ton sourire
J'écris poème après poème
Pour me rappeler à jamais que je t'aime

Le bonheur était à tes pieds
Je ne peux le nier
Mais grâce à toi , je combattrai
Plus forte que jamais

La PlumeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant