Nobody like you -njh- [TERMINÉE]

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Je me réveille avec une horrible sensation de vide et surtout, je suis épuisée.

J'ouvre doucement les yeux et ma mère se précipite vers moi.

"Alia! Dieu merci! Tu m'as fait tellement peur!" Elle s'écrie presque en essuyant ses yeux et me serrant doucement dans ses bras.

"Maman... le bébé, je veux savoir comment il va."

"Eh bien..."

"Non... il est mort? Le bébé est mort? Je vais dire ça comment à Nia-"

"Alia Jonhson je veux que tu te calme avant de faire faire une attaque à ta vieille mère!"

"Mais maman, c'était l'enfant de Niall, je ne voulais pas qu'il meurt..." je soupire alors que les larmes se mettent à couler sur mes joues.

"Et c'est toujours la fille de Niall, Alia, ta fille est vivante. Votre fille est vivante et magnifique. Elle doit rester en couveuse un certain temps mais elle à l'air de bien se porter et elle respire."

"Oh mon dieu... Alors je suis maman, c'est sérieux?" Je n'arrive pas à y croire.

Et cette sensation de bonheur me rend encore plus bizarre. Je ne voulais pas de cet enfant alors pourquoi je suis heureuse? Je ne mérite pas ça après avoir souhaiter que cet enfant disparaisse.

Cet enfant qui est ma fille. Je n'arrive pas à m'y faire.

Je suis maman d'une petite fille qui est bel et bien vivante.

"Oui, tu es maman. Et je suis grand-mère..." elle soupire et des larmes remplissent doucement ses yeux.

"Je suis maman..." je répète plusieurs fois tous bas pour être sûre que je ne suis pas en train de rêver ou pour savoir si je ne suis pas morte mais il semblerai que non... Je suis vraiment maman.

"Tu as appeler Perrie?" je demande à ma mère.

"J'ai penser que tu voudrait le faire toi même..." ma mère sourit en me tendant mon portable.

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"Oh mon dieu! Qu'est-ce qu'il s'est passer Alia? Ou est ton bébé? Tu devais me prévenir si il se passait quelque chose!"

"Calme toi Pez, tous va bien maintenant."

"Mais où est ton bébé alors?" Elle demande en paniquant encore.

"J'espère que tu es prête à être marraine? Parce que même si j'ai encore du mal à y croire, je suis bel et bien maman..."

"C'est pas vrai... mais qu'est-ce qu'il s'est passer?!" demande-elle en tombant assise sur le bord de mon lit.

"Eh bien, Alia s'est réveiller avec des détresses respiratoires parce que le bébé à bouger de l'utérus donc ils l'ont mis sous oxygène et ils ont du sortir le bébé pour le bien des deux."

"Mais ce n'était pas trop tôt?"s'exclame Perrie.

"Non, certains bébés naissent plus tôt même mais ils n'avaient pas le choix si ils voulaient les sauver, donc la petite est en couveuse et Alia va rester encore quelques temps en observation." Ma mère explique calmement à Perrie.

"Donc, tu veux bien être la marraine?" Je demande d'une petite voix.

"Quoi?! Mais bien sur que je veux être la marraine! Je suis tellement contente que tu sois en vie." Ses larmes coulent dans mon cou quand elle me sert dans ses bras.

"Rassure moi, tu as prévenu Niall? Il n'arrête pas de se faire du soucis, je l'ai eu au téléphone hier soir et il devient fou... Je sais que ça va être dur pour toi Lia, mais il faut qu'il le sache."

Je hoche doucement la tête.

C'est vrai que depuis qu'ils ont sorti mon bébé, je n'ai fais que penser à Niall mais je ne l'ai prévenu de rien du tous.

"Tu... Tu peux le prévenir toi?"

"Pas de soucis, mais il faut que tu te fasse à l'idée qu'il va venir vous voir toi et la petite."

Je hoche simplement la tête quand Perrie sort de la chambre pour l'appeler je suppose.

"Je vais rentrer dormir et prendre une douche si ça ne te dérange pas ma chérie, je suis exténuée, je n'ai pas dormi depuis hie-"

"Vas-y maman, Perrie est avec moi."

"Merci mon ange." elle embrasse mon front et sort de la chambre.

.

Quand Perrie revient, j'ai la boule au ventre de savoir ce qu'il va se passer ensuite.

Niall va-t-il venir me voir? Voir sa fille?

"Il a pleurer de peur et puis de joie, Alia, c'est l'homme le plus heureux du monde mais il est tellement effrayer et nerveux à l'idée de te voir, de rencontrer sa fille..."

"Donc il ne viendra pas?" Je coupe Perrie.

C'est vrai, pourquoi est-il nerveux de me voir?

Parce qu'il ne sait pas comment me dire qu'il me quitte?

Ou encore parce qu'il à pris conscience qu'il était trop jeune et il ne veut plus de cet enfant?

"Quoi?! Bien sur qu'il va venir! Alia il t'aime comme un fou et il est heureux que votre fille soit en vie, mais c'est normal qu'il soit nerveux. Il est persuadé que tous ce qu'il vous est arriver à toi et la petite c'est de sa faute."

"Mais ça ne l'est pas, tu le sais toi?"

"Bien sur que je le sais Lia, Niall ne ferait pas de mal à une mouche et encore moin à toi. Mais je peux comprendre qu'il se soit mis en doutes à ce point la."

"Il viendra quand?" Je demande incertaine.

"Il m'a dit qu'il passerai demain."

"Il faut que je me lève, je veux prendre une douche."

"Lia, attend. Je vais chercher une infirlière."

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Une bonne heure après, grâce à l'aide de Perrie, je suis propre et emmitouflée dans un pyjama qu'elle m'a rapporter, le t-shirt à Niall et un stupide jogging.

Elle m'a emmener marcher un peu dans les couloirs.

J'ai demander pour aller voir ma fille, mais elle est trop instable pour que quelqu'un d'autre que les médecins entre dans cet endroit complètement stérile.

J'ai eu le droit de la voir à travers la vitre et... elle est vraiment minuscule.

J'ai tellement peur qu'il lui arrive quelque chose.

Elle est toute petite, toute fragile.

"Tu sais, j'ai l'impression d'être une autre personne. Je ne voulais tellement pas de cet enfant et maintenant, j'ai si peur pour elle." Je me confie à Perrie qui est debout derrière mon fauteuil roulant.

"C'est normal Lia, elle était dans ton ventre, la voir en vrai a du te faire avoir un déclic je suppose..." Perrie m'explique doucement.

"On peux y aller? Je suis épuisée."

Elle hoche la tête et on repars en direction de la chambre.

On y arrive et quand je me lève pour me rassoir, des bras plus musclés que ceux de Perrie m'entoure doucement la taille pour me soutenir.

Je soupire et les larmes commence à couler dur mes joues. Je suis toujours debout, les mains appuyées sur le lit et Niall me soutenant toujours par la taille.

Il est la, il est venu.