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je passe mes journées sous la couette si je ne les passe pas à l'hôpital pour des batteries d'examens. d'après ces enculés de médecins je suis un cas rare. mon cancer à été reconnu en phase terminal il y a 3 mois, et pourtant je suis toujours là. c'est ainsi pourquoi ils me cassent les couilles avec leur essais médicinal, comme si j'étais leur cobaye. quand ma mère a réalisé ce que je subissais, elle a accepté d'arrêter les traitements. je savais qu'un jour je devrais arrêter de lutter, ça ne servait à rien. le destin décide de notre fin, alors malheureusement personne n'a été assez courageux pour réussir à le contredire. mais c'est à cet instant que j'ai regretté de n'avoir pas essayé, il était là. revoir ses yeux d'un regard embué légèrement cachés par ses mèches de cheveux qui arrivaient à la limite de ceux-ci. il avait les joues rougies, sûrement par l'émotion.