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Agressivité
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Maman - Qui voudrais avoir d'une fille pareille ? Une pute au milieu d'autre, qui le voudrait ? Je veux pas d'elle , moi je veut juste toi et Absam mais pas elle. Elle ne fera jamais partie de ma famille.

Le sentiment que ça fait d'entendre ça.

Quel douleur.

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- Mais pourquoi tu me dit ça ?

Maman - Oh parce que tu pensais que je t'aimait ? Ma pauvre fille... fie toi a l'évidence, tu n'est pas aimé chou , je pense même pas que tu le sera un jour wallah.

Daren - FERME TA PUTAIN DE GUEULE ! TA GUEULE !

Maman - Non tu me laisse parler. Tu est qu'une ingrate, une sale fille , je devais me planter un couteau dans le ventre quand j'étais enceinte, je crache sur toi et sur toute ta descendance , kehba va.

Daren - Eh la vie de ma femme que je suis choqué. Je suis tellement choqué que j'ai plus de force pour crier. La vie de ma mère je bouillonne ! JE BOUILLONNE TA RACE , JE DEVIENS FOU !

- ... Daren on rentre s'il te plaît.

Julien - VOUS AVEZ CRU QUE VOUS ÉTIEZ QUI VOUS POUR VOUS INTRODUIRE CHEZ MOI BANDE D-

Il a touche mon épaule sûrement pour me retourné, je me retourne et prenant son bras et lui fais une clé de bras.

Je le fais tomber parterre par un coup dans le creux des genoux , je lui met un premier coup de poing et puis la c'est parti tout seul.

J'ai commencé a l'enchainé , je voyais le visage de ma mère a sa place et j'ai continué, j'ai continué pendant au moins 5 secondes qui pour moi était longue.

Daren - ARRÊTE LA C'EST BON !

Il m'attrape la taille et me sort dehors.

Daren - Arrête de pleurer Eyan-

Je descend les escaliers a vive allure en pleurant , je ne savais plus quoi faire.

Je voulais traversé mais je sens qu'on me tire violemment en arrière et en même temps je vois une voiture passé devant moi en klaxonnant.

Daren - Putain !

Je commençais a suffoqué , c'est le choque tout ça , je suffoqué et voyait flou , j'entendais la voix de Daren qui s'éloignait petit à petit.































Nathan






































Je continué à taper sur le punching-ball, je m'arrête un moment pour reprendre mon souffle.

J'avais un très mauvais pressentiment, mais genre vraiment mauvais , je regarde Naïm et Abdul qui était assis sur les gradins a rigoler sur je ne sais quoi.

«C'est pas un boxeur qui me fera peur»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant