Tome I:
La vérité c'est qu'ils se détestent. Pourquoi ? Bonne question. Je veux dire en fin de compte leur haine ne mène à rien et pourtant il se haies à n'en plus finir, rien ni personnes devaient enlever ce mépris entre eux ... Cependant on reste...
Je regarda les murs autours de moi tandis que le silence triomphait dans la chambre. Ma tête me faisait un mal de chien et mon pieds, mon bras et mon torse eux aussi me tuais littéralement de l'intérieur. Deux personnes étaient là lors de mon réveille, deux personnes complètement inconnus. Dès que je leurs avait demander qui ils étaient leurs visage avait blêmit et le pire se fut quand ils sortirent tous les deux. On aurait pus imaginer que c'était genre des cinglés qui c'était tromper de chambre et qui n'avaient capter qu'à la fin, qu'à mon réveil mais quand les hurlements se firent entendre derrière ma porte je compris qu'ils me connaissaient plus que bien alors je me suis poser la question la plus bizarre qu'une personne pourrait se poser à elle même. Qui suis-je ? C'est à ce moment précis que mon cerveau se bloqua, je ne savais qui j'étais ni comment je m'appeler. C'était comme si dans mon propre corps j'étais devenu une inconnue de moi même et que mon cerveau s'était mis des chaînes que je devais combattre pour me rappeler. C'était paradoxal et compliquer mais c'était la seul explication qui semblait résumé ma situation.
Je me stoppa dans se bricolage de cerveau quand la porte d'entrée s'ouvrit. Un homme d'environ une vingtaine d'année avec les cheveux marrons bouclé entra dans ma chambre. C'était lui, c'était l'inconnu de mon réveil.
??: Salut Mary...
Pdv Alex
Elle ne me répondu pas et attrapa plus fortement sa couverture. Vous savez ce qui est pire qu'être détester par la personne que vous aimez, c'est de l'effrayer et que quand elle vous fixe elle ne vous voit qu'en potentiel danger.
Mary: Mary c'est moi ?
Une claque énorme m'atteint quand j'entendis le son de sa voix quelque peu dérailler. Bordel ça m'avait manqué
Moi: Oui et moi c'est Alexander mais tout le monde m'appelle Alex à part toi, toi tu m'appelais...
Mary: Je t'appelais ?
Moi: Mon grand et magnifique roi
Elle fronça les sourcils et s'enfonça de nouveau encore plus profond dans son lit d'hôpital. Et merde...
Moi: Je rigole !
Mary: Oh...
Elle se redressa et je m'assis sur la chaise à côté d'elle se qui engendra presque automatiquement un mouvement recul de sa part.
Moi: Je m'appelle Alex...
Mary: Oui, tu le l'a déjà dit
Moi: Ah oui merde
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Elle me regarda longuement avant de pouffer de rire et un sourire se créa sur mes lèvres en la voyant sourire.
