La salle de bains des préfets

Chapitre unique

La guerre venait de se terminée , le monde sorcier connaissait un nouvel air de paix apprécié par toute la communauté sorcière après l'horreur que la plus part avaient vécus. On laissait du temps a ceux qui avaient perdus leurs proches on tentait de retrouver un semblant de vie.

Ceux qui appartenaient au mal étaient traqués et punis pour leurs actes de cruauté.

La famille weasley venait d'enterrer l'un de leurs fils , de leurs frères, ron ne retrouvait le sourire qu'en présence de sa nouvelle petite amie et harry se sentait de trop dans cette famille qu'il avait considérée comme sienne. Il avait besoin d'être seul, de réfléchir à tout ce qu'il s'était passé. La mort de dumbledore, celle de snape et tout ce qu'elle impliquait, la mort de voldemort la fin de la guerre toutes ces personnes qui avaient données leurs vies pour la paix.
Harry n'avait plus le poids de la culpabilité sur les épaules. Après tout lui aussi était mort durant cette guerre lui aussi avait beaucoup perdu au cours de cette guerre et surtout il avait dans un sens sacrifié toute son enfance pour cette guerre. A présent il voulait réapprendre à vivre à respirer à se balader seul sans risquer la mort à tout les coins de rue. Pourtant ce qui l'attendait aux coins des rues lui paraissait pire que la mort, les journalistes le harcelaient, le suivaient, il était un héros de guerre, un dieu vivant qui avait sauvé le monde. Il voulait leur crier que les vrais héros n'étaient pas ceux qu'on leur jetait à présent en pâture mais bien tout ceux qui avait sacrifier leur vie durant la bataille, des hommes Comme severus snape qui toute sa vie avait été un espion, qui chaque minutes risquait d'être découvert et de mourir dans d'atroces souffrances et qui finalement était mort pour le monde. Mais à la place il se contentait de fuir les appareils photo et les hordes de journalistes retrouvant sa chambre chez le chaudron baveur où il avait élu domicile afin de laisser les wesley faire leur deuil et Aillant préféré offrir La maison de son parrain a lupin et sa famille plutôt que de vivre dans cette grande maison pleine de souvenir douloureux.
Pourtant Quand son anniversaire arriva il reçu une lettre de la part d'une personne inattendue, le professeur mcgonagall aillant pris la place de directrice de poudlard lui proposait de venir vivre au château jusqu'à la rentrée où il reprendrait son année afin d'avoir les aspic à la fin de celle ci. Trouvant l'idée bien triste de laisser son élève préféré aux mains des journalistes ou cloîtré dans ce vieux bar. Harry n'hésita pas une seconde, poudlard était de nouveau sur pied et il se ferait un plaisir d'y retourner, tout pour éviter les journalistes. Bien que majeur il tenait à passer ses aspics afin d'avoir une chance d'intégrer l'université de potion, matière pour laquelle il s'était passionné depuis la fin de la guerre. La présence pesante de la chauve souris des cachots n'étant plus la pour le stresser. C'est assez rapidement qu'il fit ses valises et qu'il rejoignit poudlard en transplanant.

La nuit commençait à peindre le ciel d'un bleu profond et les Lumières du château brillaient de mille feux à travers les vitraux.   Harry eu un pincement au coeur en marchant là ou quelques semaines plus tôt des centaines de personnes étaient décédées . Poudlard était sa maison mais jamais plus se ne serait Comme avant. Alors qu'il allait ouvrir la porte immense du hall celle ci s'ouvrit en grand pour l'accueillir en son sein chaleureux. La directrice l'attendait un sourire bienveillant aux lèvres, heureuse de retrouver le jeune homme qu'elle avait vue grandir et devenir un véritable griffondor. Après quelques salutations respectueuses mcgonagall emmena Harry dans une aile du château où il n'avait jamais mis les pieds.

- cette année les jeunes redoublants comme vous monsieur potter seront logés dans leurs propres appartements. Vous serez tous majeur d'ici peu aussi nous avons pensés que vous souhaiteriez un peu plus d'intimité.

Le Brun hocha la tête ravi à l'idée de vivre seul il pourrait inviter ses amis sans pour autant être sans cesse entouré. Il avait besoin de prendre un peut de temps pour lui et cette idée le remplissait de soulagement.