Prologue

1K 108 64
                                    

Et voici venir le tome 2 ! YEAH YEAH YEAHHH.

Comme je vous l'ai dit dans le premier tome, les publications seront bien moins régulières, étant donné que le tome n'est pas encore dans son intégralité, mais également parce que les cours ont repris et que je serai bien moins sur mon ordinateur. Je compte toutefois publier une fois semaine (le mercredi, le samedi ou le dimanche) en essayant d'être la plus régulière possible.

J'espère retrouver toutes mes petits Outbreakers et pourquoi pas en intégrer de nouveaux/velles à notre petit cercle de fan. ^^ Vos commentaires me touchent toujours énormément et, comme pour le tome 1, je me ferai un plaisir d'y répondre. Je vous aime mes Outbreakers, bisous :*

 P.S. = Quelqu'un sait mettre de grosses guillemets pour les citations dans le résumé, comme certains arrivent ? Moi je suis perdue. Et j'aimerai mettre des sous-titres à Outbreak, pensez-vous que c'est une bonne idée ? Si oui, des idées ?

--------

"Even the darkest night will end and the sun will rise", disait Victor Hugo.

C'est Evy qui m'a appris cette citation. Evidemment, avec l'accent français que j'ai, je préfère graver cette phrase dans ma mémoire en anglais.

A l'époque, je ne pensais pas que cette phrase pouvait autant me parler. En étant Spider-Man, je me disais que plus rien ne pouvait m'atteindre. Pas après la mort de mon oncle et de mes parents. Pas en sauvant autant de monde. Pas en étant un héros.

Mais même les plus grands héros sont souvent victimes du pire. Il leur arrive de totalement perdre les pédales, de tout perdre, d'être faible.

J'ai été faible.

Et cela a coûté la vie à quelqu'un et en a brisé une autre.

J'ai beau m'excuser, elle pourrait me pardonner - et je sais qu'elle le fera un jour - ça me rongera toute ma vie. Je ne pourrai plus la regarder dans les yeux, rire avec elle, la prendre dans mes bras, penser à son sourire ou protéger la ville à ses côtés.

Pas sans regrets, pas sans tristesse, pas sans ce trou béant qui me creuse la poitrine.

On dit que la culpabilité s'en va un jour, qu'au fil du temps, on oublie.

Je n'oublierai pas, jamais. Ce jour-là, c'est comme si le héros en moi était mort, comme si Spider-Man n'avait plus lieu d'être.

Evy a beau me demander d'arrêter de me torturer, être là quand je me réveille en pleine nuit, noyé dans mes cauchemars, je n'y arrive pas.

Je suis fini.

Comme lui, ce jour là, je suis mort.

Outbreak Tome 2 ► Marvel ✓Where stories live. Discover now