Apocalypse.

chapitre 7.

Il tire une de ces têtes.

-Irina, tu vas m'affronter d'accord?  La première qui donne un coup à l'autre à gagner. Je ne m'attends pas spécialement à ce que tu gagnes mais à ce que tu tiennes le plus de temps possible d'accord? 

-Compris.

Je vais chercher ma batte et Soyou lui tends la sienne. Je me place en face d'elle, il n'y a pas de meuble proche pour nous déranger. C'est parfait.

-Ne te retiens pas.

Elle est plutôt confiante. C'est une bonne attitude.

-Bien.

-Commencez.

On se regarde, on se jauge. La batte à l'air un peu lourde mais elle va vite gérer ça. Elle se lance la première, je devie son coup.
Trop basique comme attaque. 

Au fur et à mesure elle s'améliore même si maintenant elle est épuisée. Je lui donne mon premier coup avec pour objectif de la toucher, dans sa jambe, il n'était vraiment pas fort mais je l'ai vue chuté. Je rattrape sa main pour la relevé mais une douleur me prends le ventre. Je tombe moi même en arrière pour tousser.
Le brun est directement là.

-Respire bien, calme..

-Je-Je vais bien.

Je me relève en position assise en me maintenant le ventre de ma main. J'offre un sourire au brun pour lui prouver que ça va.

-Désolé j'y ai mis toute ma force..

-C'était vraiment bien !

-j'ai seulement réussi à vous toucher grâce à la triche..

-C'est déjà bien.

Le brun m'aide à me relever trop brutalement puisque je me cogne contre son torse. Une nouvelle fois, nos yeux se rencontrent.
Nos mains sont restés lié, mais je ne le sentais pas jusqu'à ce qu'il bouge un doigt. Je me détachais vite et m'éloignais de lui. Surment le rouge aux joues.

-Au fait, la petite s'appelle Hina, Haruma.

-A-ah c'est un joli nom !

-Je vais.. chercher pour les armes....

Je pars rapidement en mode solo dans une autre pièce. Je commence à chercher un interrupteur ou autre. Je suis rejoins par Irina.

-Ne t'excuse pas, je suis plutôt contente que tu ais fournis ce résultat.

-Vraiment ?? Parce que j'avais vraiment peur de t'avoir mise en colère..

-Je ne suis jamais en colère, ça sert à rien. Ta jambe ça va ?

-juste un petit bleu. On peut se parler vraiment ?

Je le sentais mal.

-J'ai réfléchis à ce que tu as dis dans la salle de bain. A propos de ce que tu as dans le dos.

Je me contracte. Je n'arrête pas de me répéter que Fréd est mort mais rien n'y fait. Si il savait depuis combien de temps je ne suis pas rentré...