❌ Cette fiction est un spin off de It Won't Kill Ya, assurez vous d'avoir lu l'autre avant sinon vous risquez un très très gros spoile ❌
Parfois la vie fait bien les choses. Parfois elle met sur notre chemin des personnes qui changent notre façon de...
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Je rentrerais pas tard, je lançais tout en enfilant ma paire d'escarpin.
Je serais avec les gars de toute manière, il sourit et quitta le canapé. Appelles moi si tu veux que je viennes te récupérer.
Je pense que Paul me ramènera.
Il attrapa ma main et me plaqua contre son torse, parsemant mon visage de baisers, provoquant mon rire.
Qu'est-ce que tu fais ?
Rien du tout, il sourit.
Ses doigts passèrent sur la bague de fiançailles qui trônait sur mon annulaire et je souris à mon tour.
Demain j'ai rien à faire, on pourra sortir faire un truc, je proposais.
Il hocha la tête et je l'embrassais une dernière fois.
A ce soir bébé ! je criais depuis la porte d'entrée.
Elle claqua dans mon dos et j'appuyais sur le bouton de l'ascenseur, prête à passer une bonne soirée.
Effectivement, l'ambiance n'était pas retombée depuis des heures. Après m'être déhanchée sur la piste de danse avec mes amies pendant un long moment, j'avais fini par m'asseoir à la table que nous avions réservé. Le club était bondé, et j'avais perdu tout le monde de vue. Mais mon verre m'occupait pleinement. J'étais en train de me resservir de nouveau lorsqu'une main se posa sur mon épaule. Je souris à Paul en me retournant vers lui.
Salut !je criais par dessus la musique.
Tu fais quoi toute seule ?
Je suis fatiguée, je ris.
Et c'était vrai. J'avais enchaîné les contrats depuis notre retour du Brésil. Et sortir ce soir m'avait épuisé.
Tu me ramènes ?
Tu veux que je te ramène maintenant ?il haussa un sourcil. On s'amuse bien pourtant !
Ouais mais j'ai sommeil, je souris. Et Hugz m'attend à la maison, je rajoutais. Je lui avais dis que je rentrerais pas tard et il est déjà deux heures.
Il pinça ses lèvres mais hocha la tête.
Un dernier verre avant de partir ?
Non merci, je refusais. Je vais aux toilettes et je reviens.
Je le laissais là, et fendis la foule à la recherche des dits toilettes. Je jetais un regard à mon reflet que me renvoyait l'immense miroir. Même si j'avais transpiré, je ne ressemblais pas à une folle. Je passais mes mains sous l'eau pour me rafraichir lorsqu'une paire de mains rugueuses s'accrocha à mes épaules. Je crus les reconnaître et mes sourcils se froncèrent un peu plus lorsque mon regard dans le miroir rencontra celui d'un Paul, qui semblait bien plus alcoolisé que lorsque je l'avais laissé.
