Enfin le départ!

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Après des mois d'attentes, les membres de l'équipage du S.S. Flying Falcon peuvent enfin se préparer au départ, ils sont dix hommes et femmes. Il y a le capitaine: David Saver ; il y a son second et ami de toujours : James Scott ; il y a les membres de l'équipe de pilotage : Jane Marcson, Mary Caller et Daniel Stone ; Il y a aussi toute l'équipe de scientifiques : Hubert Anderson et Edward Shawn ; et il y a l'équipe d'entretien : Marcus Freeman, Ézékiel Jone, Nicholas Karlson, Jacque Molierre et Mégane Dusoleil. Ces dix humains ont pour mission de trouver la planète avec les conditions idéales pour permettre à la race humaine de la coloniser et, si ils ont de la chance, enquêter sur la disparition soudaine de l'équipage du S.S. Space Falcon. Ainsi partaient dix héros qui ne s'attendaient pas du tout à ce qui allait venir nuire à leurs mission. Une fois tout le monde installé, un décompte vint ajouter à l'impatience de tout l'équipage.

-T moins dix seconde, neuf... huit... sept... six... cinq... quatre... trois... deux... UN... allumage, Flying Falcon, vous avez le feu vert, dit la voix à la radio.   

Jane, Mary et Daniel ont enclenchés les moteur en même temps, et ce, à un tel point qu'on aurait cru qu'ils étaient reliés par la pensée.  Une minute passe, ils ne sont toujours pas sortis de l'atmoshère. Deux minutes, puis trois, et toujours pas sortit de l'atmosphère terrestre.

- Je crois qu'il y a un problème, s'inquiéta James.

- non, ce n'est que parce qu'il nous faut économiser le carburant et les batteries, ce devrait être finit dans cinq ou dix minutes. Le rassura Daniel.

le pilote avait raison, après très exactement sept minutes, on pouvait voir la Terre dans toute sa splendeur. Dans cette vision de la terre, il n'y avait aucune frontière, aucun problème, aucune discrimination. La violence n'y existait pas, c'était tout simplement trop beau pour être décrit.      Enfin, le capitaine Saver ramena l'équipage à la mission. Il demanda aux scientifiques quelle serait la planète potentiellement colonisable la plus proche.

- Il y aurait cette exoplanète à très exactement sept années lumières d'ici qui contient énormément d'eau et qui aurait apparament beaucoup d'êtres vivants à sa surface. explliqua Hubert

- Dans ce cas, cap sur cette planète que l'on va nommer... euh... dit le capitaine

- pourquoi pas ''espoir''? proposa le second

Tous acquiescèrent. Le mot espoir était un si grand mot, pourtant si petit, petit comme un vaisseau par rapport à l'univers. Environ une semaine après, l'équipage est arrivé sur la magnifique planète appelée Espoir, car elle était le tout premier espoir de planète habitable autre que la Terres. Enfin, un lieu non souillée par la pollution, le surpeuplement ou la barbarie.

désirs mortelsWhere stories live. Discover now