25 octobre

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On est tous nés pour mourir alors autant choisir sa mort, autant qu'elle nous appartienne. Si l'on veut faire de sa vie un rêve la mort serai annonciateur d'un réveil, une fin inévitable où le néant serai notre propre et seule réalité.

La vie serai, selon leur lois, comme une flamme, un espoir, mais nos coeur sont demeurés de glace face à cette singularité, tel une anomalie de l'espace et du temps.

Un bohneur fugace et irréel, incapable de discerner le vrai du faux, vivre éternellement, un espoir fragile, éphémère pour certains.

Goutte de sang sur le sol pour s'échapper du rêve, rejoindre le réel, un réveil, un monde qui nous semble meilleur.
Un monde qui nous appartiendrai.
Goutte de pluie sur nos joues pour s'échapper de la réalité, rejoindre le rêve, s'endormir, un monde qui nous semble faux.
Un monde qui nous libérerai.

Réalité enchaînée à nous même, réalité où rien ne nous ai vraiment permis.
Un pays libre, un pays libre où la différence n'est pas acceptée. Regards, chuchotements, échos, ceux qui nous hantent, nous enserre, un froid, métal autour de nos poignets si faible.

Rêve de glace.

AméthysteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant