Chapitre 3 :

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Me revoici me revoilà.

Voici le chapitre 3. Il est là il est présent exprès pour vous.

Et donc la phrase qui est toujours là :

Bonne lecture.

*******

Je me réveille.

J'ai un mal de crane affreux. Où suis-je ?

Tous est blanc autour de moi rien ne bouge, des lits, partout des lits avec une personnes salement amochées à l'intérieur.

Et moi je suis comment ?

Salement amochée. Je suis branchée à plusieurs perfusions au niveau de mes bras et de mes jambes.

Je n'ai pas les pensées très claires et j'ai envie de dégueler. La joie.

Mais que s'est il passé ?

Je ne me souviens que de son visage, puis plus rien.

Mes parents, où sont mes parents ?

- Papa, maman vous êtes où ?

Ma question demeure sans réponse.

Une infirmière arrive en courant et manque de faire tomber une de mes perfusions.

- Calmez-vous si vous plait.

Laissez moi rire, me calmer !!

Attends je sais pas où sont mes parents donc je suis juste seule. J'ai seize ans ok et alors tous le monde a besoin de ses parents même s'il les déteste. Respect.

On comprend ça que quand on les a perdus et il est impossible de revenir en arrière.

Je pleure. Faite que ce ne soit pas ce que je pense.

- Dites moi où ils... ils sont.

- Nous ne sommes sûr de rien. Mais calmez-vous par pitié.

- ....

- Pensez aux autres patients, vous vous avez de la chance, d'autres personnes ont des blessures plus graves. Vous n'avez que trois côtes cassé et un léger traumatisme cranien. Plusieurs patients vont devoir se faire enlever un membre.

Je crie d'horreur. Putain les pauvres. Mais où sont mes parents et pourquoi on ne veut rien me dire.

- Où est ma mère ?

Elle hésite et je le vois.

- Où est ma mère c'est important.

Je le dis plus fermement et ça à l'air de marcher.

- Lit trente huit.

- Merci.

- De rien. Mais ne faites pas trop de mouvements brusques si vous plait, vous êtes blessée.

A oui c'est vrai ces blessures de merde. Mais je m'en tape je vais quand même aller la voir. Il faut que je sache où est mon père.

Je descends du lit tant bien que mal avec la force qu'il me reste. Et me dirige vers le numéro indiqué.

Je découvre ma mère étendue avec deux fois plus de perfusions que moi.

Ses yeux sont vitreux et entre ouvert et elle parle toute seule. De la bave coule de ses lèvres.

C'est comme ça qu'est devenue ma mère !!??

Une infirmière passe à côté de moi et me dit :

- Ne t'inquiète pas c'est juste de passage, tous va rentrer dans l'ordre.

- .....

je l espère ma petite dame je l'espère.

Ma mère ouvre la bouche et parle :

- A ma petite Jodie tu es en vie. Tant mieux.

- Maman.

- Tout va bien, je suis là et toi tu es là.

- Mais et papa ?

- Je ne sais pas ma puce mais tout va s'arranger.

- .....

- Aller vient me faire un calin.

Je me penche quand....

- Putain mes côtes.

Je me les suis bousillées. C'est pas super drôle. J'ai un mal de chien.

Mais ça ne règle toujours pas mon problème où est passé mon père ?

Comme si ma mère avait lut dans les pensées, elle hèle une infirmière puis lui demande direct des nouvelles de mon père.

- Bien pouvez-vous me montrer une photo de lui s'il vous plait ?

- Bien sur.

Ma mère lui tend son tel' posé à côté sur la table de chevet.

- J'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer.

Je crois savoir ce que c'est mais je refuse d'y croire pourtant mes soupçons sont comfirmés par cette phrase qui restera gravée dans mon coeur à tout jamais :

- Votre père est porté victime de l'attentat auquel vous avez été bléssée.

********

Alors comment avez vous trouvé ce chapitre ?

Je sais il est un peu court mais si je voulais garder le suspens, fallait que je le fasse un peu plus court mais bon il est quand même bien non ?

Bon bah faut que j'y aille et merci beaucoup d'avoir lu jusque là.

ButterflyWhere stories live. Discover now