Chapitre 2 : L'inquiétude

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1er Décembre 22h30 Salon de la résidence de Benjamin Hunter

Le son si caractéristique de l'appel en cours agaça Benjamin. Que faisais donc Tektiv ? L'avocat finit par entendre le téléphone être décroché et une voix pâteuse dû au sommeil lui répondre.

- Dick Tektiv à l'appareil *bâillement* que ce passe t'il ? Demanda l'inspecteur de police avec fatigue.

- Je suis désolé de vous appelez à cet heure tardive, mais c'est une urgence. Dit Benjamin, l'inquiétude perçant dans sa voix.

- Monsieur Hunter ! Il y a un problème ? J'entends que vous êtes inquiet. Se réveilla soudain l'inspecteur.

- Vous avez une voiture tout terrain qui peut aller vite sur les routes enneigées ? Demanda Hunter.

- Oui, mais je ne vois pas pourquoi vous me demandez cela.

- Il faut que vous veniez me chercher avec votre voiture c'est urgent ! Et j'ai également besoin de votre aide.

- J-j'arrive de suite Monsieur Hunter !

Le téléphone fut brusquement raccroché et Hunter posa le téléphone sur le combiner et fit les cent pas en attendant Dick Tektiv. Ce n'est que dix minutes après que la sonnette de chez Benjamin retentit et ce dernier ouvrit la porte et vit un Dick Tektiv essoufflé.

- I-inspecteur Dick au rapport ! Quel est le problème Monsieur Hunter ? Demanda Dick au garde à vous.

- Il faut qu'on aille au quartier orientale et que nous cherchions Maïalène Chevalier ! Dit Hunter en sortant de chez lui et en fermant la porte à clé.

- Hein ? Mademoiselle Chevalier ? Mais on ne la pas vu depuis sept mois. Dit Tektiv en ne comprenant pas très bien.

- On en discutera en route !

Benjamin se dirigea rapidement vers la voiture de l'inspecteur de police et s'installa à la place passagé. Dick le suivit et s'installa derrière le volant. Il démarra la voiture et s'engagea pour prendre la direction du quartier orientale.

- Bon, et si vous m'expliquiez maintenant ce qu'il se passe ? Demanda l'inspecteur.

Hunter expliqua les grandes lignes, faisant s'étouffer Dick en parlant rapidement du fait que Maïalène et lui avait eut une "relation charnelle" le soir de la fête.

- Attendez ! Vous et Mademoiselle  Chevalier vous êtes...?

- Non, nous ne sommes pas en couple. Pour l'instant. Souffla Hunter en détournant le regard avec gêne.

Dick ne dit rien, mais les derniers mots de Hunter étaient parfaitement compréhensible. Il avait des sentiments pour la demoiselle et c'était la raison pour laquelle il s'inquiétait à ce point pour elle.

- Pourquoi aller au quartier orientale ? Demanda Tektiv.

- Maïalène me disait souvent avec humour que si elle devait finir à la rue, elle aimerait être au quartier orientale. Expliqua Hunter.

Il se souvenait de ce qu'elle lui disait à ce moment là pour expliquer pourquoi elle aimait le quartier orientale.

"- J'aime le quartier orientale pour de nombreuses raisons : les délicieuse odeur de nourriture ou de produits aromatiques, les appétissant plats gourmand, les beaux cerisier en fleurs, mais ce que j'aime encore plus, c'est les lanternes de papier coloré ou les petites flammes brille comme des pierres précieuses."

Son sourire rêveurs et heureux restait gravé dans l'esprit de Benjamin qui ne pouvait empêcher son cœur de s'emballer à chaque fois. Le pauvre avocat qui d'habitude était neutre perdait ses moyens face à la belle Maïalène.

1er Décembre 22h50
Quartier Orientale

L'inspecteur se gara sur le parking orientale et les deux hommes descendirent de voiture.

- Il faut qu'on aille jusqu'a la zone des lanternes de papiers colorés, c'est l'endroit qu'elle préfère. Souffla Hunter.

Ils sentirent la neige tomber rapidement et à gros flocons glaciale et ils se dépêchèrent pour rejoindre la zone des lanternes de papier. Dick Tektiv avait enlevé son manteau pour s'en faire un parapluie de fortune et Hunter avait levé son bras de manière à pouvoir voir quelques choses. Il vit enfin les lanternes qui émettaient de magnifiques couleurs et juste en dessous se trouvait un corps recouvert d'une fine couche de neige. Hunter se précipita au côté du corps, l'inquiétude lui broyant le cœur. Juste avant qu'il n'arrive, Maïalène avait observée les lanternes colorées, particulièrement celle de couleur gris sombre et rouge. Elles lui rappelait Benjamin, l'homme qu'elle aimait. Elle aurait aimé le revoir, et avait décidée de tout lui raconter au travers d'une lettre. Hunter avait dû bien rire en lisant sa lettre, où il l'avait prit en pitié. Maïalène ferma les yeux, son corps glacé était comme une statue de glace, et elle avait envie de dormir. Elle entendit un crissement dans la neige et entrouvrit les yeux. Sa vue était floue et elle voyait quelqu'un. Un homme au cheveux gris sombre et au costume rouge sombre. Maïalène leva lentement la main et toucha la joue chaude de l'homme.

- Ben..ja...min ? Souffla Maïalène avec faiblesse.

- Je suis là Maïalène, le calvaire est finit. Dit Hunter.

Il enleva son manteau, souleva Maïalène contre lui et enleva du mieux qu'il put la neige. Il enfila le long manteau à Maïalène et la prit dans ses bras puis se leva.

- On retourna à la voiture et on l'emmène à l'hôpital ! Dit Hunter avec urgence à Dick Tektiv.

- D'accord ! Allons y !

Ils partirent en courant et montèrent en quatrième vitesse dans la voiture et prirent la direction de l'hôpital le plus proche.

1er Décembre 23h05, Hôpital de l'étoile filante

La réceptionniste de l'accueil de l'hôpital étouffa un bâillement et regarda l'heure avec un soupir. Plus que cinq minutes et elle avait terminé son travail. Elle redressa soudain la tête quand elle entendit la porte d'entrée de l'hôpital claquer contre le mur. L'infirmière eut un sursaut de surprise en voyant le célèbre avocat de l'accusation Benjamin Hunter entrer en tenant dans ses bras une jeune femme visiblement trempé. Benjamin s'avança jusqu'au comptoir de l'accueil de l'hôpital, son visage exprimant son inquiétude.

- Appelez immédiatement un médecin ! Qu'il vienne immédiatement s'occuper de mon amie ! Ordonna Hunter, sur les nerfs.

- J-j'y vais de ce pas Monsieur ! Acquiesça l'infirmière.

Elle fila rapidement prévenir le médecin de garde, n'ayant pas envie de recevoir les foudres de colère de cet avocat si connu. Un médecin arriva bien vite et Maïalène fut emmené pour être examinée. Benjamin s'installa sur l'un des sièges pour patienter et Dick Tektiv fit de même. Il ne restait plus qu'à attendre.

Le Noël d'un avocat Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora